Confinement ou pas, le souci des papiers est permanent pour Marie-Noëlle. Fin novembre, elle a obtenu un nouveau récépissé de demande de titre de séjour, valable jusqu’à la mi-février 2021. Une déception pour la Camerounaise qui espère obtenir un jour le regroupement familial pour ses deux filles aînées.
Avoir les papiers c’est comme un diplôme. C’est un parcours du combattant.
Marie-Noëlle nous parle du renouvellement de son récépissé mais également de son "mixeur", souvenir du pays.
Je n’arrête pas de dire aux enfants que l’école est importante pour avoir un bon métier plus tard.
Je garde espoir, je vais trouver autre chose plus tard et ça ira pour le regroupement familial.
Chaque année, le Secours Catholique alerte sur la situation de grande pauvreté de nombreux ménages étrangers, dont des familles avec enfants. Ils représentent désormais plus de la moitié des personnes que l’association accompagne. Pour certains migrants, avoir un emploi est tout simplement impossible, du fait du statut administratif instable qui les prive du droit de travailler. Pour tous, le chemin vers l’intégration dans la société d’accueil est un parcours semé d’embûches.
Confinement ou pas, le souci des papiers est permanent pour Marie-Noëlle. Fin novembre, elle a obtenu un nouveau récépissé de demande de titre de séjour, valable jusqu’à la mi-février 2021. Une déception pour la Camerounaise qui espère obtenir un jour le regroupement familial pour ses deux filles aînées.
Avoir les papiers c’est comme un diplôme. C’est un parcours du combattant.
Marie-Noëlle nous parle du renouvellement de son récépissé mais également de son "mixeur", souvenir du pays.
Je n’arrête pas de dire aux enfants que l’école est importante pour avoir un bon métier plus tard.
Je garde espoir, je vais trouver autre chose plus tard et ça ira pour le regroupement familial.
Chaque année, le Secours Catholique alerte sur la situation de grande pauvreté de nombreux ménages étrangers, dont des familles avec enfants. Ils représentent désormais plus de la moitié des personnes que l’association accompagne. Pour certains migrants, avoir un emploi est tout simplement impossible, du fait du statut administratif instable qui les prive du droit de travailler. Pour tous, le chemin vers l’intégration dans la société d’accueil est un parcours semé d’embûches.