Rosemary : « Les femmes indigènes sont celles qui souffrent le plus de l'extractivisme »

Chapô
Figure de proue du mouvement indigène en Amazonie, Rosemary Pioc met en garde contre l'impact des projets d'extractivisme dans le nord du Pérou sur l'environnement et la santé des habitants. En particulier, celle des femmes, davantage exposées aux ressources polluées.
Paragraphes de contenu
Image de couverture
Rosemary leader autochtone péruvienne
Code de la vidéo YouTube
Titre de la vidéo
Rosemary Pioc : « Rassembler plus de femmes pour nous sentir plus fortes »
Texte

Des eaux des fleuves polluées, des ressources halieutiques empoisonnées, des sols tout aussi pollués… Les activités minières, légales comme illégales, qui nécessitent le recours à des produits toxiques, dont certains sont interdits en France, comme le mercure, continuent de mettre en péril la biodiversité unique du bassin amazonien. Et exposer ainsi la vie des habitants de la forêt à des problèmes de santé graves. En raison de leurs activités du quotidien, « les femmes indigènes souffrent plus que les hommes », explique Rosemary Pioc. Récemment élue à la tête d’un conseil de femmes, un organe représentatif du peuple autochtone Awajun, présent dans le nord du Pérou, la leader indigène tente de fédérer les femmes pour faire entendre leur voix face aux dangers que représente l’extractivisme

Lire aussi : « Défendre l’Amazonie et les peuples autochtones nous concerne tous »

Crédits
Nom(s)
Département vidéo
Fonction(s)
Réalisateur
Pour rester informé(e)
je m'abonne à la newsletter