FAQ
Aide à la lutte contre la précarité alimentaire
Faire ses courses, choisir avec soin les aliments, mijoter un bon petit plat équilibré pour sa famille, autant de gestes simples qui animent notre quotidien. Pourtant, ces actes de la vie courante, de nombreux français, touchés par la précarité alimentaire, en sont coupés. Des associations telles que le Secours populaire, les Restos du cœur, la Croix-Rouge ou le Secours Catholique luttent chaque jour en France contre l’insécurité alimentaire grâce à la distribution de denrées alimentaires et à de nombreuses actions qui permettent aux plus démunis de retisser un lien social.
Aide alimentaire : comment soutenir les actions du Secours Catholique ?
Pour soutenir les actions du Secours Catholique dans le domaine de l’aide alimentaire, plusieurs solutions s’offrent à vous :
- faire un don : il peut s’agir d’un don en ligne ponctuel ou par chèque. Si vous préférez agir sur la durée ou répartir votre don, vous pouvez aussi opter pour le don régulier par prélèvement automatique avec la possibilité de suspendre ce don à tout moment.
- faire un legs en transmettant une partie de ses biens.
- organiser une collecte lors d’un événement sportif ou familial.
- devenir bénévole en donnant de votre temps.
Au-delà de l’aide alimentaire, le Secours Catholique agit au quotidien dans de nombreux autres secteurs : qu’il s’agisse de l’accès au logement et à l’éducation pour tous ou encore de l’accompagnement vers l’emploi.
Comment agir pour la mobilité solidaire ?
Accéder à l’emploi, sortir de son isolement social… Ces enjeux sociaux et économiques nécessitent une mobilité à laquelle de nombreux publics n’ont toujours pas accès. Pourtant, la mobilité, au même titre que le droit au logement ou le droit à l’éducation, est un droit universel. Grâce à la mobilité solidaire, un accompagnement de ces publics est possible. La loi d’orientation des mobilités (LOM), soutenue par de nombreuses solutions de mobilité pour tous, permet de lever les freins à l’emploi et de lutter contre l’isolement social. Faire appel à la mobilité solidaire est un véritable enjeu de société. Le Secours Catholique fait le point sur la mobilité solidaire.
Comment aider les migrants ?
Les aides de l’État ne suffisent pas pour accompagner les migrants arrivant sur notre terre d’accueil. Les associations s’investissent chaque jour et mettent en place des actions humanitaires pour leur apporter davantage de soutien et les aider à s’intégrer au sein de notre société.
Donner de son temps à une association pour venir en aide aux migrants
Devenir bénévole dans une association comme le Secours Catholique permet de venir en aide aux clandestins, aux demandeurs d’asile et aux immigrés. Notre association est ouverte à tous ceux qui souhaitent donner de leur temps. Il y a de nombreuses façons d’aider les réfugiés à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent chaque jour :
- Aide pour les démarches administratives (demande d’asile, dossier pour obtenir les allocations, utilisation d’internet, etc.).
- Projet d’accompagnement vers l’insertion sociale et professionnelle.
- Apprentissage et connaissance de la langue française.
- Soutien psychologique.
- Soins médicaux.
- Distribution de repas, de vêtements et de produits de première nécessité.
- Défense des droits.
- Lutte contre l’exclusion.
- Etc.
Rejoignez nos bénévoles au CEDRE (centre d’entraide pour les demandeurs d’asile et les réfugiés). Cette antenne du Secours Catholique vient en aide en priorité aux personnes exilées ne bénéficiant d’aucune aide. Les bénévoles accueillent les personnes vulnérables pour se détendre autour d’un bon café dans un lieu convivial, effectuer ensemble des démarches administratives ou s’enrichir autour d’ateliers socio-culturels.
Vous pouvez également être bénévole à Calais pour soutenir les personnes migrantes se trouvant dans des situations d’urgence. Les migrants dorment dehors, n’ont pas de quoi se nourrir et de quoi se laver. Mobilisons-nous pour leur apporter des repas, leur offrir des kits d’hygiène et les mettre à l’abri le temps de les aider à dessiner leur avenir. À Calais, comme partout dans le monde, ils ont besoin de nous pour vivre ou même survivre…
Faire un don à une association pour aider les migrants
Le Secours Catholique vous invite à faire un don afin de participer à mettre en place des actions humanitaires pour venir en aide aux migrants isolés et ainsi leur offrir un avenir meilleur. Soutenez notre cause en remplissant le formulaire de don en ligne. Notre association a besoin de votre soutien pour continuer à agir !
Comment aider les personnes sans-abri et les mal-logés ?
Si ces aides existent, elles ne suffisent pas à offrir une vie décente aux sans-abri. Chacun, à son niveau, peut aujourd’hui apporter une aide concrète aux sans-abri.
Le bénévolat pour aider les personnes sans domicile ou mal-logées
Devenir bénévole, c’est s’engager humainement auprès d’une association et partager la valeur de solidarité. Vous pouvez prendre du temps pour l’accompagnement des sans-abri en les aidant dans leurs différentes démarches administratives par exemple, ou tout simplement pour échanger ; le soutien moral est particulièrement apprécié dans ces situations de précarité difficiles à vivre qui rendent vulnérable et qui isolent.
Faire un don pour soutenir les personnes sans-abri et les mal-logés
Soutenir les personnes sans-abri et les mal-logés, c’est aussi faire un don à notre Fondation Caritas France – Secours Catholique. Vous participerez ainsi à la réalisation des actions concrètes à nos côtés, sur le terrain, que ça soit à travers l’achat de nourriture, de produits d’hygiène ou de vêtements chauds en période de grand froid. Notre formulaire de don en ligne est simple et rapide.
Maintenir le lien social avec les personnes SDF
Enfin, au-delà du bénévolat et des dons, maintenir le lien social avec les personnes SDF est déjà un acte humain fondamental que chacun d’entre nous peut mettre en œuvre au quotidien. Avoir un regard bienveillant et empathique pour la personne dans la rue qui croise notre chemin, échanger quelques mots avec elle, sont autant de petits gestes qui repoussent le sentiment d’exclusion et d’isolement social vécu comme une souffrance par les sans-abri. Pour une société et un monde plus justes, chacun d’entre nous peut agir pour la lutte contre la pauvreté et l’exclusion. N’oublions pas que le droit au logement est un droit fondamental de notre société, pour tous. Les gens de la rue sont nos plus proches voisins.
Comment associer ma famille ou mes proches à ma démarche ?
Grâce à la Fondation Caritas France, il est possible de s’engager auprès des plus démunis en créant une fondation familiale appelée plus communément « fondation abritée ». Associez-vous à des membres de votre famille et engagez-vous, ensemble, pour défendre une cause qui vous est chère et construire un monde plus juste.
La Fondation Caritas France vous propose un accompagnement pour chaque étape de la création de votre fondation (choix du nom, de votre projet, du mode de financement, etc.). Nous vous proposons de participer à des formations, des conférences, des visites sur le terrain mais aussi de rencontrer d’autres fondateurs qui vous inspireront pour avancer dans votre chemin philanthropique.
Faites partie de notre grande famille en créant une fondation à l’image de votre histoire personnelle et de vos valeurs.
Comment choisir la meilleure façon de donner ?
La philanthropie vous pousse à agir pour le bien-être des autres ? Vous souhaitez faire un acte de générosité auprès de notre fondation mais vous ne savez pas comment ? Une équipe experte en philanthropie est à votre écoute pour vous guider et trouver ensemble la meilleure façon de donner selon vos projets et votre patrimoine tout en vous proposant une fiscalité adaptée.
- L’assurance-vie : Transmettez votre épargne en partie ou en totalité en faveur du Secours Catholique qui recevra ce capital à votre décès pour faire perdurer vos valeurs. Vous pouvez, dans tous les cas, bénéficier de cette épargne de votre vivant. Les démarches sont simples, il n’y a aucunement besoin de passer devant un notaire. Les démarches s’effectuent auprès d’une banque ou d’une assurance. Il vous suffit de souscrire à une assurance-vie et désigner notre association comme bénéficiaire. En tant qu’association reconnue d’utilité publique, le Secours Catholique est exonéré de droits de succession.
- La donation de son vivant : Vous pouvez transmettre une partie de votre patrimoine de façon immédiate et irrévocable à notre association en passant devant un notaire. Agissez dès maintenant pour soutenir nos actions en faveur des plus démunis. Le Secours Catholique est, dans ce cas, exonéré de droits de mutation.
- La donation temporaire d’usufruit : Il est possible de transmettre les revenus de vos loyers, dividendes, etc. à notre fondation en offrant l’usufruit pour une durée minimum de 3 ans. À la différence de la simple donation, la donation temporaire d’usufruit n’est pas irrévocable.
- Le legs : C’est un don par testament dont le bénéficiaire jouira après votre décès. Pour désigner le Secours Catholique comme bénéficiaire d’une partie de votre patrimoine, il est obligatoire de rédiger un testament. Il faut toutefois respecter la réserve héréditaire qui correspond à la part obligatoirement destinée à vos héritiers (enfants et conjoint survivant). En faisant un legs à une association reconnue d’utilité publique, il n’y a pas de droits de succession.
- La fondation abritée : Pour aider des millions de personnes en France et dans le monde, soutenez-nous en créant votre fondation dans le secteur qui vous anime. La philanthropie mène le monde et la société vers un avenir meilleur.
Comment devenir bénévole pour le Secours Catholique ?
Pour devenir bénévole pour le Secours catholique, il suffit de contacter l’une de ses antennes ou directement l'association via le formulaire de présentation en ligne "je propose mon aide" en haut de cette page. Vous pourrez alors proposer de donner quelques heures de votre temps au profit des nombreuses causes soutenues par l’association, qu’il s’agisse d’une heure, d’une journée, d’une semaine, voire d’une année !
Mais l’engagement peut aussi prendre d’autres formes. Ainsi, vous pouvez aussi travailler au secours catholique en devenant salarié ou bien faire un service civique auprès du Secours Catholique. Près de 900 salariés et 59 000 bénévoles engagés et solidaires coopèrent chaque jour au sein de chaque antenne de l’organisation pour « Ensemble, construire un monde juste et fraternel ».
Comment faire ma déclaration IFI ?
Votre déclaration IFI se fait en même temps que votre déclaration d’Impôt sur le Revenu, en annexe du formulaire 2042.
Comment faire un don ?
Faire un don en ligne
Vous pouvez simplement faire un don en ligne : grâce à un formulaire efficace et rapide, le don permet de soutenir la cause de votre choix quand vous le souhaitez. Ce don d’argent ponctuel peut aussi s’inscrire de manière plus pérenne si vous le transformez en don régulier avec un prélèvement automatique. Vous accompagnez alors dans la durée les projets portés par notre des associations, reconnues d’intérêt général.
Faire un legs
La générosité peut prendre la forme d’un legs : vous choisissez de nous transmettre une partie de votre patrimoine (biens immobiliers et/ou mobiliers) à votre décès. Vous êtes ainsi libre de léguer à notre association de votre choix tout ou partie la quotité disponible de vos biens, en prenant cette décision par voie de testament, de votre vivant. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter notre page transmettre mon patrimoine.
Faire un don en nature
La générosité n’est pas uniquement financière. Vous pouvez faire un don en nature qui sera, lui aussi, tout à fait utile à la communauté ; vos objets, vêtements, livres trouveront une seconde vie dans les nombreuses boutiques solidaires des associations caritatives. Vos objets plus précieux, tels que des bijoux ou des tableaux, peuvent, eux, être vendus aux enchères ; la somme récoltée participera à aider au quotidien les actions de l’association et vous recevrez un reçu fiscal.
Organiser une collecte
Vous voulez éveiller votre entourage à la charité ? Vous pouvez alors organiser une collecte sous la forme d’un projet sportif, d’un voyage, d’un rendez-vous familial (anniversaire, baptême, mariage...). Tout le monde peut être donateur. Vous fédérez ainsi autour d’une cause qui vous tient à cœur, à votre niveau vous participiez à la révolution fraternelle vous éveillez votre entourage à la charité et le tout, dans un cadre convivial.
Transmettre le fruit de son épargne
Vous pouvez faire don de votre assurance-vie à notre association. Il suffit de désigner comme bénéficiaire de votre contrat d’assurance-vie l’association de votre choix afin que le fruit de votre épargne, au moment de sa transmission, aide les plus démunis.
Comment faire un don à une association ?
Faire un don à une association est simple. Les modalités sont néanmoins propres à chacune d’entre elles. Pour verser un don au Secours Catholique, vous pouvez choisir le don ponctuel par carte bancaire, Paypal et chèque ou le don par prélèvement automatique. Un formulaire de don en ligne est disponible ; rapide et efficace, il vous invite à transmettre vos coordonnées, votre RIB et le montant de votre don. Un accusé de réception vous parviendra en retour ainsi qu’un reçu fiscal au titre de votre don.
Comment faire un don finance des projets solidaires ?
Faire un don au Secours Catholique, c’est s’engager auprès des sans-abri, mal-logés et des personnes en situation de précarité, aider à l’accompagnement scolaire, à tisser du lien social, faciliter l’accès aux droits des personnes dans le besoin, plaider auprès des pouvoirs publics, nous donner des moyens face aux situations d’urgence… Les personnes qui subissent la pauvreté participent à ces actions, ce qui valorise ainsi la capacité de tous à agir pour que chacun accède à des conditions de vie dignes. Voici quelques exemples d’actions de solidarité déployées par le Secours Catholique.
La lutte contre la pauvreté
Le Secours catholique est une association qui lutte contre la pauvreté, en France et dans le monde entier. Faire preuve de solidarité et se mobiliser pour le bien commun sont les valeurs qui animent le Secours Catholique.
La lutte contre les inégalités
Favoriser l’accès aux droits de tous est un des enjeux majeurs du Secours Catholique : droit au logement, à la santé, à l’éducation, à la citoyenneté, à l’alimentation et à l’eau… sont des combats de tous les jours dans la lutte contre les inégalités.
La lutte contre l'exclusion
La lutte contre l’isolement social n’est pas uniquement matérielle. Maintenir le lien social, faire preuve d’entraide pour sortir de leur isolement les quelque 75 millions de personnes seules en France* est une cause que les équipes du Secours Catholique soutiennent en développant des réseaux de solidarité. Et parce que la pauvreté est un facteur supplémentaire d’isolement, il est urgent d’agir.
*Selon une enquête publiée en 2021 portée par Fondation de France.
Comment faire un don par SMS au secours catholique ?
Il suffit d’envoyer « DON », « DON2 », « DON5 », « DON10 », par SMS, au 92900.
Suite à cet envoi, vous recevrez un SMS de confirmation.
Comment faire une donation à une association ?
La donation immédiate et irrévocable nécessite la rédaction d’un acte notarié et l’acceptation du donataire. À l’inverse d’un don sur testament, le passage chez le notaire est obligatoire pour la donation sauf en cas d’exception. L’intervention d’un notaire n’est pas requise pour un don manuel (don de main à main d’une somme d’argent ou d’un bien mobilier) et le présent d’usage (somme de faible valeur transmise sous forme de cadeau pour un anniversaire par exemple). Une déclaration à l’administration doit, toutefois, être faite.
Nous vous conseillons de nous contacter pour discuter de votre projet de donation. Nous pourrons étudier ensemble la faisabilité du projet de donation. Il est également important d'en parler avec votre notaire, car c'est lui qui vous indiquera si votre projet est faisable d'un point de vue juridique pour ne pas léser vos éventuels héritiers réservataires. La donation se matérialise par la signature d'un acte notarié.
Vous souhaitez soutenir notre combat pour la lutte contre la pauvreté et l’isolement ?
Vous avez un projet de donation pour aider les plus vulnérables et leur offrir une vie meilleure ?
Contactez-nous dès maintenant pour bénéficier d’un accompagnement personnalisé.
Comment lutter contre l'isolement social ?
Devenir bénévole au Secours Catholique
Lutter contre l’isolement social, c’est être en action. Alors, pourquoi ne pas rejoindre les 60 000 bénévoles au service du Secours Catholique qui œuvrent quotidiennement pour aider les personnes en situation d'isolement. Devenir bénévole, c’est donner un peu de son temps et de sa générosité. Par un geste affectueux, une écoute, une parole, un échange, un regard, un partage, une simple compagnie, on peut concrètement porter secours aux plus démunis socialement et même agir en prévention de l’isolement. Une formation de bénévole est proposée avant de mettre en œuvre les différentes aides possibles.
Financer nos actions par le don pour lutter contre l’isolement social
- Faire un don en ligne est un moyen simple et efficace de lutter contre l’isolement social. Vous choisissez en toute sérénité à quelles associations et à quel moment vous donnez, où que vous vous trouviez dans le monde.
- Faire un don à une association est en effet un geste de générosité qui participe à financer les actions menées sur le terrain pour venir en aide à ceux qui souffrent. À votre niveau, vous devenez acteur de cette lutte contre l’isolement social.
- Si vous ne souhaitez pas donner de votre vivant, vous pouvez opter pour le legs : le legs est un don par testament. Cette disposition permet de choisir de son vivant de transmettre une partie de son patrimoine (immobilier et/ou mobilier) au destinataire de son choix, qu’il s’agisse d’une personne physique ou morale. Ce legs devient effectif uniquement au décès du testateur.
La lutte contre l’isolement doit être l’une des priorités nationales de notre société. Des solutions existent pour agir.
Comment mon don va-t-il m’être facturé ?
Si vous êtes titulaire d’un abonnement mobile Orange (à l’exception d’un forfait bloqué) ou d’un abonnement mobile SFR (à l’exception des clients prépayés et forfait bloqué qui ne peuvent effectuer des dons par SMS), le montant de votre(vos) don(s) sera(ont) reporté(s) sur votre facture mensuelle que vous adresse mensuellement votre opérateur.
Le montant correspondant sera prélevé de manière cumulée et concomitamment au paiement des sommes dues au titre de l’offre mobile de votre opérateur.
Si vous êtes détenteur d’une offre prépayée ou d’un forfait bloqué Orange, le ou les don(s) fait(s) sera(ont) décompté(s) de votre crédit.
Comment soutenir une action qui me tient à cœur ?
Avec le Secours Catholique, vous avez l’opportunité de soutenir un projet social qui vous tient à cœur pour lutter contre la pauvreté, les inégalités et l’exclusion. Notre équipe vous accompagne afin de définir ensemble le projet, les secteurs et les thématiques que vous souhaitez soutenir.
Comment utilisons-nous vos dons IFI à la Fondation Caritas France ?
À la Fondation Caritas France, nous mettons un point d’honneur à être totalement transparents sur l’usage des dons qui nous parviennent. Une relation de confiance nous unit à chaque donateur avec qui nous partageons un objectif commun : la lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales en venant en aide aux personnes en difficulté. Votre don permet d’agir concrètement sur la société, aux côtés des plus fragiles et ce, dans un large spectre. La Fondation Caritas France du Secours Catholique transforme vos dons en actions concrètes en soutenant en priorité des projets du Secours Catholique ainsi que d’associations partenaires dans différents domaines de la lutte contre les inégalités en France :
- Acteurs de l'Économie Sociale et Solidaire ou de la recherche sur les questions de pauvreté
- Projets autour du logement et de l’hébergement
- Projets d’insertion professionnelle
- Projets porteur d’une transition écologique et sociale
Et également dans le monde :
- Accès à l’eau et accès digne à l’alimentation
- Accès à la santé
- Insertion professionnelle et accès à l’éducation
Comment venir en aide aux familles en difficulté ?
Si les dispositifs de l'État sont largement développés, ils ne suffisent pas à venir en aide au nombre croissant de familles en difficulté. Les associations comme le Secours Catholique jouent alors un rôle central et permettent à chacun d’agir à son niveau.
Donner de son temps à une association pour aider les familles en difficulté
Devenir bénévole au sein de notre association est un moyen concret d’apporter de l’aide aux familles en difficulté. Votre temps généreusement donné peut ainsi prendre la forme d’aide aux devoirs pour les enfants dans le cadre de l’accompagnement à la scolarité, ou d’aide aux démarches administratives pour obtenir un logement ou une aide de l’État. En fonction de votre emploi du temps et de vos envies, vous choisissez les actions qui vous tiennent à cœur, comme le font les 60 000 bénévoles qui œuvrent au quotidien au côté du Secours Catholique.
Faire un don de soutien aux familles
Si le temps vous manque, vous pouvez faire un don de soutien aux familles. En effet, fondations et associations caritatives fonctionnent principalement grâce aux nombreux dons individuels qui leur parviennent chaque jour. Au Secours Catholique, cela représente 80 % des ressources financières. La générosité de chacun est vitale pour permettre à ces structures d’agir. Ces dons permettent de financer les projets soutenus par le Secours Catholique pour aider notamment des familles impactées par la pauvreté. Faire un don est un acte de générosité simple, rapide et surtout efficace pour agir auprès des familles les plus démunies afin que chacun, dans un souci d’égalité, ait accès à des conditions de vie dignes. Chaque don permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu à hauteur de 75 % de son montant.
Comment verser mon assurance-vie à plusieurs bénéficiaires ?
Lorsque vous souscrivez à un contrat d’assurance-vie, vous serez amené à remplir la clause bénéficiaire.
Cette clause détermine le ou les bénéficiaires de manière précise. Elle rassemble, pour les personnes physiques, les noms, prénoms, dates et lieux de naissance, adresses. Pour les personnes morales, la dénomination précise et l’adresse du siège social sont demandées.
Ces informations permettent de ne pas laisser le doute sur la ou les personnes que vous avez choisies en tant que bénéficiaires.
Mais cette clause vous permet aussi de désigner plusieurs bénéficiaires qui peuvent être à la fois des personnes physiques et morales.
Si vous avez déjà souscrit à un contrat d’assurance-vie, il est possible d’ajouter de nouveaux bénéficiaires en adressant simplement un message ou un courrier à votre banquier ou assureur.
Vous pourrez aussi déterminer avec votre interlocuteur les termes de la distribution de ce contrat aux différentes parties désignées comme bénéficiaires.
Comment œuvrer à la mobilité solidaire ?
Devenir conducteur bénévole pour une association
Chacun peut être acteur à son niveau de la mobilité solidaire. Devenir bénévole en fait partie, et plus précisément endosser le rôle de conducteur ou conductrice solidaire auprès d’une association. Avec votre véhicule personnel, vous permettez à de nombreux bénéficiaires identifiés ‒ souvent retraités en milieu rural ou familles monoparentales non véhiculées ‒ d’exécuter leurs déplacements de la vie quotidienne comme par exemple se rendre chez le médecin, à la Poste, ou encore dans les enseignes alimentaires pour faire leurs courses. Un accompagnement social bienvenu et souvent vital pour sortir une personne de l’isolement.
Faire un don à une association qui soutient la mobilité solidaire
Vous ne disposez pas de temps pour intégrer notre communauté de bénévoles ? Vous pouvez soutenir les actions du Secours Catholique dans le domaine de la mobilité solidaire par un don. Épiceries solidaires itinérantes, bibliothèques itinérantes, garages solidaires, mise en place de service de télémédecine... autant d’actions concrètes qui visent à abolir les distances. Faire un don, c’est agir efficacement à nos côtés pour la mobilité solidaire. Cet acte de générosité peut se faire en quelques clics avec le formulaire de don en ligne. Un don par sms est également possible.
Avec le Secours Catholique, vous êtes certain de faire un don en confiance. Pour savoir ce que deviennent vos dons, consultez notre page. Vous pouvez aussi en apprendre davantage sur les actions du Secours Catholique en faveur des sans-abri.
Conditions génerales d’utilisation du service de don par SMS ?
Cliquez sur le lien pour visualiser les CGU
Des droits de succession sur votre assurance-vie pour le Secours Catholique ?
Il est légitime de se poser la question. Les droits de mutation font partie des droits de succession qui sont à payer par l’héritier ou le légataire désigné. Vous hésitez donc peut-être entre assurance-vie et legs.
Il est bon de savoir que fiscalement, tant que l’association bénéficiaire est un organisme d’utilité publique (selon l’article 795 du CGI), le don sera de toute manière exonéré des droits de mutation par décès.
Ainsi, nombreux sont les organismes qui sont exonérés et le Secours Catholique en fait partie.
En outre, les droits de succession ne sont pas acquittés si :
- le souscripteur choisit d’opter pour un contrat d’assurance-vie avant ses 70 ans
- le contrat est souscrit après 70 ans, mais le montant de l’ensemble des primes versées (tous contrats d’assurance-vie confondus) ne dépasse pas 30 500 €.
Devenir bénévole : quelles actions mener ?
En devenant bénévole pour le Secours catholique, vous agissez avant tout pour l’intérêt général. Si la lutte contre la pauvreté en France et à l’étranger est la cause principale de l’association et de sa fondation Caritas France, il existe plusieurs manières d'agir. Chaque bénévole dispose d’une formation adaptée au secteur dans lequel il s’engage. Vous pouvez alors choisir de vous investir en fonction de votre sensibilité vers une ou des initiatives qui vous tiennent à cœur et pour lesquelles vous vous sentez aptes. Il peut s’agir d’apporter une écoute, un soutien moral et un accompagnement administratif aux familles et aux plus jeunes, d’animer des cours d’alphabétisation et de soutien scolaire pour les adultes et les enfants en difficulté, de participer activement au système d’économie durable sur le terrain en rejoignant une épicerie solidaire locale, de mener des actions en prison auprès des détenus ou encore d’agir pour l’insertion professionnelle des plus démunis. Mais il peut s’agir aussi de répondre à des situations d’urgence en accompagnant les sans-abris et les mal-logés qui ont le droit à un logement digne, en assurant la défense des migrants et des réfugiés, et de manière plus globale en vous battant aux côtés de l’association pour les droits humains pour tous.
La solidarité et la fraternité, maîtres-mots du Secours catholique, se développent à l’international. Il vous est également possible d’agir à ce niveau en accompagnant des projets concrets d’accès à l’eau potable (constructions de puits, de forages, de citernes…) qui impactent la santé de nombreuses populations à travers le monde.
Donation de son vivant : qui est concerné ?
Pour faire une donation de son vivant, le donateur doit être majeur ou mineur anticipé. Il doit également avoir la capacité mentale et la capacité juridique de disposer de ses biens (être apte à exercer ses droits et ses obligations).
Le donateur peut faire une donation à ses enfants, ses petits-enfants, son conjoint, d’autres membres de la famille ou une tierce personne n’appartenant pas à sa famille tout en respectant la réserve héréditaire.
Dons aux associations et réduction d'IFI
Les dons consentis aux fondations reconnues d'utilité publique comme la Fondation Caritas France sont déductibles de l’IFI. Ainsi, transformer une partie de son impôt en don ouvre droit à une réduction fiscale de 75 % du montant de votre don. Une générosité qui trouve un sens social concret auprès de notre fondation. Devenir donateur est simple. Voici les quelques règles qui encadrent le don à une association donnant droit à une réduction d’IFI.
Dons aux associations et réduction d’impôts : que faut-il savoir ?
L’un des avantages du don à une association est de pouvoir bénéficier en retour d’une réduction d’impôt sur le revenu. Cette dernière est encadrée par la loi française et ne peut dépasser 66 % du montant versé, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Cette réduction d’impôt est plus importante pour les dons faits aux organismes d'aide aux personnes en difficulté ou aux victimes de violences domestiques tel que le Secours Catholique : elle est de 75 % pour un don d’un montant égal ou inférieur à 1 000 euros. Au-delà de cette somme, la réduction correspond à 66 % du don et toujours dans la limite de 20 % du revenu imposable. Soyez donc vigilant au moment de remplir votre déclaration d’impôt.
D’autres types de dons sont également envisageables tels que le legs dont la nature administrative confère également des avantages fiscaux.
En quoi consiste l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) ?
L’impôt sur la fortune immobilière (IFI) remplace depuis 2018 l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Comme son appellation l’indique, il concerne exclusivement le patrimoine immobilier non affecté à l’activité professionnelle : biens immobiliers bâtis (maisons, appartements, dépendances, etc.), mais également biens immobiliers non bâtis (terrains constructibles, terres agricoles). Les placements financiers ou les collections d’art ne sont par exemple pas pris en compte.
Vous êtes soumis à l’IFI si votre patrimoine immobilier excède une valeur nette d’un montant total de 1,3 million d’euros sur l’année fiscale en cours. Le taux d’imposition varie alors selon la valeur du patrimoine immobilier à date de déclaration (le taux maximal étant de 1,5 %) ; le calcul de cet impôt débute à 800 000 €, dès lors que vous êtes soumis à l’impôt sur la fortune immobilière.
En quoi consiste le don à une association ?
Les dons sont aujourd’hui les principales sources de financement des associations ; c’est grâce à la générosité des donateurs que les activités des associations se développent et surtout se pérennisent. Pour cela, les structures associatives organisent tout au long de l’année des collectes de dons qui offrent la possibilité aux donateurs de leur faire un don, ponctuel ou régulier. L’intérêt de ces dons est majeur. Il existe plusieurs types de dons et notamment :
- Le don ponctuel, qui peut se faire de manière sécurisée directement en ligne sur le site internet de l’association ou par chèque, du montant souhaité.
- Le don régulier, qui permet d’apporter son soutien dans la durée. Il prend la forme d’un versement mensuel par prélèvement automatique. Cette formule est simple, sécurisé et surtout souple puisqu’à n’importe quel moment le donateur peut suspendre ou modifier son don par téléphone, courrier ou email.
Engagez-vous aux côtés du Secours Catholique pour l’accès aux droits des plus démunis
Le Secours Catholique s’engage dans la lutte contre les inégalités en proposant un accompagnement social aux plus démunis. L’objectif est d’être auprès des laissés-pour-compte, isolés, peu ou pas accompagnés, pour leur faciliter l’accès aux droits et plus largement pour favoriser l’insertion sociale et professionnelle et la lutte contre l’isolement. Ce plaidoyer est au cœur de nos préoccupations depuis de nombreuses années afin de rétablir l’égalité entre tous les Français et de diminuer le taux de non-recours.
L’État doit prendre ses responsabilités et mettre en place une action sociale pour assurer la protection et la promotion des droits de chaque citoyen rencontrant des difficultés. Les pouvoirs publics doivent s’investir et simplifier les dispositifs pour assurer l’accès aux soins et le droit aux prestations sociales. En France, le droit aux minima sociaux, le droit au logement et le droit à la santé doivent devenir LA priorité pour garantir bien-être et meilleure qualité de vie à chacun : les jeunes, les personnes en situation de handicap, les cas isolés, les plus démunis, le public âgé, les individus sans emploi ou ceux ayant une activité professionnelle avec des revenus modestes.
Si cette cause vous est chère, nous vous invitons à faire un don au Secours Catholique. Vous pouvez également devenir bénévole au sein de notre association pour vous battre, avec nous, pour offrir un avenir meilleur aux personnes en situation précaire qui poussent chaque jour notre porte pour obtenir du soutien.
Est-ce que l’assurance-vie est soumise à la règle de la réserve héréditaire ?
Non, l'assurance-vie n’entre pas dans le patrimoine successoral est n’est donc pas concernée par la réserve héréditaire.
Faire un don en ligne
Vous pouvez simplement faire un don en ligne : grâce à un formulaire efficace et rapide, le don permet de soutenir la cause de votre choix quand vous le souhaitez. Ce don d’argent ponctuel peut aussi s’inscrire de manière plus pérenne si vous le transformez en don régulier avec un prélèvement automatique. Vous accompagnez alors dans la durée les projets portés par notre des associations, reconnues d’intérêt général.
Faire un don en nature
La générosité n’est pas uniquement financière. Vous pouvez faire un don en nature qui sera, lui aussi, tout à fait utile à la communauté ; vos objets, vêtements, livres trouveront une seconde vie dans les nombreuses boutiques solidaires des associations caritatives. Vos objets plus précieux, tels que des bijoux ou des tableaux, peuvent, eux, être vendus aux enchères ; la somme récoltée participera à aider au quotidien les actions de l’association et vous recevrez un reçu fiscal.
Faire un legs
La générosité peut prendre la forme d’un legs : vous choisissez de nous transmettre une partie de votre patrimoine (biens immobiliers et/ou mobiliers) à votre décès. Vous êtes ainsi libre de léguer à notre associationl’association de votre choix tout ou partie la quotité disponible de vos biens, en prenant cette décision par voie de testament, de votre vivant. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter notre page libéralités.
Faut-il être catholique pour venir au Secours Catholique ?
L’association est ouverte à tous. Chrétiens, musulmans, juifs, bouddhistes, athées… tout le monde est le bienvenu, aussi bien parmi les bénévoles que les personnes en difficulté. Ce qui nous rassemble, c’est le désir de fraternité et de solidarité. Par son appartenance à l’Église catholique, le Secours Catholique peut aider à la mobilisation des ressources spirituelles de tous. La dimension spirituelle de chaque personne – qu’elle s’exprime ou non dans le cadre d’une religion – est importante pour l’association.
Le don fonctionne-t-il avec tous les opérateurs ?
Le don par SMS est disponible uniquement en France métropolitaine pour les clients de Bouygues Télécom, Orange et SFR.
Le don par SMS est-il plafonné ?
Vous pouvez faire un ou plusieurs dons au 92900 dans la limite de 50 € par mois. Chaque don par SMS ne peut être supérieur à 20 euros.
Le non-recours et le non-accès aux droits pèsent sur les plus fragiles
Le non-recours, au cœur de l’actualité politique et sociale, concerne majoritairement les personnes en situation précaire. Pour de nombreuses raisons, elles ne perçoivent pas des prestations sociales auxquelles elles sont pourtant éligibles.
1 personne sur 3 renonce à des soins médicaux pour des raisons financières. Par manque de moyens, elles sont dans l’incapacité d’avancer les frais et préfèrent donc s’en priver. Pourtant, ces hommes et ces femmes sont souvent les plus fragiles et ont besoin d’être soignés et accompagnés.
1 personne sur 3, c’est également le nombre de personnes souvent âgées ou faisant partie des foyers les plus modestes ayant renoncé à effectuer des démarches en ligne pour bénéficier d’une aide sociale financière. Souvent mis en cause : la difficulté des démarches administratives et les problèmes liés à internet.
Également, 30 % des hommes ne prennent pas leur congé de paternité et ne bénéficient donc pas de leur indemnité. Le public concerné est majoritairement composé de personnes au chômage et des travailleurs les plus modestes.
Ces prestations devraient être automatiques pour permettre à tous d’accéder à leurs droits, de bénéficier des aides qui leur sont dues et ainsi réduire les inégalités.
Le Secours Catholique doit-il s’acquitter des droits de succession lorsqu’il reçoit une assurance-vie ?
Le Secours Catholique est une association reconnue d’utilité publique. À ce titre, nous sommes habilités à recevoir des assurances-vie, sans avoir aucun droit à verser à l’État. Les biens ou les sommes transmis sont ainsi intégralement destinés à la lutte contre la pauvreté.
Le Secours Catholique engagé pour un accès digne à une alimentation durable et de qualité
Le Secours Catholique a fait de l’alimentation l’une de ses missions principales. En étant l’une des premières associations à distribuer des chèques alimentaires aux plus vulnérables pendant le confinement lié à la pandémie, le Secours Catholique a pris la mesure de l’ampleur de l’insécurité alimentaire des familles. Fort de ce constat, le Secours Catholique a décidé de s’attaquer directement aux causes de cette précarité ; ainsi, l’objectif n’est pas seulement d’apporter une aide alimentaire mais aussi de favoriser la réinsertion professionnelle et de lutter contre l’isolement social.
Améliorer le revenu des ménages en situation de précarité
Le Secours Catholique soutient l’idée d’une augmentation importante du RSA. En améliorant le revenu des ménages en situation de précarité, on participe à réduire leur insécurité alimentaire et les conséquences qui y sont liées. Ce revenu minimum garanti soutenu par le Secours Catholique peut tout à fait s’inscrire en parallèle de la politique de retour à l’emploi développée par le gouvernement.
Soutenir la transition agroécologique
Des solutions alternatives existent pour répondre aux problématiques d’accès à l’alimentation à l’échelle mondiale. Grâce à l’agroécologie, il est possible de produire de manière responsable une alimentation de bonne qualité pour la santé des familles, tout en étant respectueux de l’environnement. Un producteur de maïs mexicain s’est engagé dans cette voie en abandonnant la culture transgénique et les pesticides ; au fil des années, il a ainsi pu partager ses récoltes avec de nombreuses familles. Le Secours catholique encourage les projets agricoles responsables, écologiques et sociaux.
Le versement de l’assurance-vie à plusieurs bénéficiaires
Lorsque vous souscrivez à un contrat d’assurance-vie, vous serez amené à remplir la clause bénéficiaire.
Cette clause détermine le ou les bénéficiaires de manière précise. Elle rassemble, pour les personnes physiques, les noms, prénoms, dates et lieux de naissance, adresses. Pour les personnes morales, la dénomination précise et l’adresse du siège social sont demandées.
Ces informations permettent de ne pas laisser le doute sur la ou les personnes que vous avez choisies en tant que bénéficiaires.
Mais cette clause vous permet aussi de désigner plusieurs bénéficiaires qui peuvent être à la fois des personnes physiques et morales.
Si vous avez déjà souscrit à un contrat d’assurance-vie, il est possible d’ajouter de nouveaux bénéficiaires en adressant simplement un message ou un courrier à votre banquier ou assureur.
Vous pourrez aussi déterminer avec votre interlocuteur les termes de la distribution de ce contrat aux différentes parties désignées comme bénéficiaires.
Les actions des associations pour l'insertion sociale et professionnelle
Les associations jouent un rôle essentiel pour lutter contre l’exclusion, la pauvreté et le chômage de longue durée. Le Secours Catholique s’engage au quotidien pour venir en aide aux personnes en difficulté et les accompagner vers une vie stable et un emploi pérenne en favorisant la formation professionnelle, les aides financières, la recherche, l’insertion par l’activité économique, le soutien, etc. Pour soutenir les actions du Secours Catholique, chacun peut agir à sa façon (faire un don ponctuel ou régulier, devenir bénévole au sein de l’association, etc.).
Les avantages de souscrire une assurance-vie en faveur du Secours Catholique
Il y a de nombreux avantages au fait de souscrire une assurance-vie en faveur du secours catholique.
- Vous continuez à faire vivre vos valeurs et vos engagements bien après votre décès, en permettant le financement de programmes d’envergure en faveur des plus démunis.
- Votre vie durant, vous continuez de profiter de votre capital et pouvez en disposer à tout moment, selon vos besoins.
- Vous bénéficiez de tous les avantages du contrat d’assurance-vie : taux de rémunération, fiscalité…
- Simple à mettre en place pour vous, la transmission est aussi simple à réaliser pour le Secours Catholique : pas de notaire, pas de frais annexes et des fonds rapidement disponibles.
- Le Secours Catholique reçoit l’intégralité des fonds qu’il pourra utiliser pour mener à bien ses actions de lutte contre la pauvreté, puisqu’en tant qu’association reconnue d’utilité publique, il est exonéré de droits de succession.
Sachez qu’il est possible de réserver son assurance-vie à un proche, tout en inscrivant le Secours Catholique comme second bénéficiaire. Cela permet de faciliter la transmission en cas de refus ou de décès du premier bénéficiaire.
Les familles en difficulté : un enjeu majeur
Si la famille est pour la majorité d’entre nous une priorité, un cocon où l’on se retrouve en toute quiétude et sérénité, la donne peut changer quand la famille se trouve dans une situation de pauvreté économique et sociale. Malheureusement, aujourd’hui, le nombre de familles en difficulté ne cesse d’augmenter. Les familles nombreuses en difficulté se concentrent généralement dans des zones urbaines, au plus près de l’emploi (vital pour ces familles), des transports (afin de réduire les coûts de déplacement) et surtout là où émergent les logements sociaux. Réduire leur budget est en effet une priorité pour les familles qui comptent parfois 6 enfants. Par ailleurs, le modèle de famille dite « traditionnelle » avec 2 parents et 1 enfant tend à évoluer avec la société, avec une augmentation accrue des séparations et des divorces.
Ainsi, en 20 ans, la proportion de familles monoparentales a doublé en France, passant de 950 000 en 1990 à 1,8 million en 2013, soit près d’une famille sur cinq. Parmi ces familles monoparentales, avec à leur tête le plus souvent des femmes, 4 sur 10 vivent sous le seuil de pauvreté. Quand il n’y a qu’un unique revenu ou qu’il est très faible puisque le parent doit se dégager du temps pour s’occuper de son enfant à domicile, la situation devient très précaire. Une page de la vie de famille qui n’est pas sans conséquences directes pour les plus jeunes : plus de 2,8 millions d’enfants sont en situation de pauvreté. La longue période de Covid n’a pas amélioré la situation sociale des familles. Venir en aide aux familles en difficulté est un enjeu majeur.
L’accès aux droits
Notre société est fortement impactée par des inégalités en matière d’accession aux droits. De nombreuses personnes ne peuvent pas faire valoir leurs droits, et ce, pour de multiples raisons. Ce taux de non-recours touche principalement les personnes en situation précaire. L’objectif est de repenser l’accessibilité aux droits en simplifiant les démarches afin de lutter contre la pauvreté.
L’accès aux droits : les non-recours les plus courants
En France, différents obstacles séparent les individus les plus précaires de leurs droits sociaux, notamment :
- les allocations familiales ;
- l’allocation chômage ;
- le revenu de solidarité active (RSA) ;
- la prime d’activité ;
- l’aide personnalisée au logement (APL) et/ou l’attribution d’un logement social ;
- la protection universelle maladie (PUMA) qui vient en remplacement de la couverture maladie universelle (CMU) pour bénéficier de soins en cas de maladie ;
- la complémentaire santé solidaire (CSS) qui vient en remplacement de la CMU-C ;
- l’allocation personnalisée d’autonomie ;
- l’allocation journalière de présence parentale (AJPP) ;
- l’allocation journalière d’accompagnement d’une personne en fin de vie ;
- etc.
L’envoi d’un SMS pour envoyer un don est-il payant ?
Le coût d’envoi du SMS au 92900 n'est pas surtaxé, mais selon votre forfait, l'envoi d'un SMS peut être payant ; le montant correspondant au mot clé sera facturé par votre opérateur, qui le transmettra au Secours Catholique.
Mécénat aux associations : qu’est-ce qu’un organisme d’intérêt général ?
Un organisme ou une association d’intérêt général est une organisation qui peut émettre des reçus fiscaux à ses donateurs, afin qu’ils puissent obtenir une réduction d’impôt. Cette définition peut paraître purement économique.
Pour aller plus loin, on dit aussi que les associations d’intérêt général doivent :
- Ne pas profiter à un groupe restreint de personnes, mais à un cercle étendu de bénéficiaires ;
- Avoir une gestion désintéressée ;
- Mener des activités non lucratives.
Mener une démarche de mécénat et faire un don à un organisme d’intérêt général, c’est participer à une cause philanthropique, dans la générosité, la solidarité et le partage.
On retrouve les définitions et les conditions fixées vis à vis de cette reconnaissance dans l’article 238 bis du Code général des impôts (CGI).
Mes dons sont-ils déductibles d’impôts ?
Chaque don effectué auprès d’une association ou d’une fondation reconnue d’intérêt général peut faire l’objet d’une réduction d’impôts de 75% du montant du don, dans la limite de 1 000€. Au-delà, la réduction d’impôts est de 66 %, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable, et vous pouvez reporter l’excédent durant 5 ans. Concrètement, un don de 200 euros vous donne droit à une réduction d’impôt de 150 euros. Votre don vous revient donc à 50 euros. Vous recevrez votre reçu fiscal pour déduire votre don de vos impôts.
Organiser une collecte
Vous voulez éveiller votre entourage à la charité ? Vous pouvez alors organiser une collecte sous la forme d’un projet sportif, d’un voyage, d’un rendez-vous familial (anniversaire, baptême, mariage...). Tout le monde peut être donateur. Vous fédérez ainsi autour d’une cause qui vous tient à cœur, à votre niveau vous participiez à la révolution fraternellevous éveillez votre entourage à la charité et le tout, dans un cadre convivial.
Pourquoi faire du bénévolat au Secours Catholique ?
Il existe plusieurs raisons de faire du bénévolat, qui sont propres à chacun :
- l’envie de se sentir utile en mettant à profit le temps libre dont on dispose et jouir en retour d’un sentiment d’accomplissement ;
- aider une cause honorable par la mise à disposition de ses compétences qui sont alors valorisées et que l’on a plaisir à transmettre ;
- élargir son cercle social en faisant de nouvelles rencontres au sein d’une équipe de bénévoles ; cela permet de se sentir moins seul et de créer du lien social dans un groupe.
- Faire du bénévolat, c’est avant tout participer à une expérience humaine enrichissante.
Pourquoi faire preuve de générosité en faisant un don à une association caritative ?
Faire un don à une association est avant tout un acte fort de générosité et d’altruisme. En soutenant des associations caritatives comme le Secours Catholique, vous participez au bien commun. Vous permettez à ces structures de développer des actions concrètes sur le terrain, en France ou à l’international, de manière pérenne. Faire un don, c’est être solidaire envers ceux qui traversent des difficultés que chacun peut vivre un jour dans sa vie. Faire un don, c’est participer activement, à son niveau, à faire bouger les lignes et à agir pour un monde plus juste et fraternel.
Pourquoi faire un don me rend acteur du changement ?
Pour permettre aux associations humanitaires d’agir au quotidien, il faut des moyens, à la fois humains et financiers. L’action est possible grâce aux dons du grand public. Faire un don, c’est ainsi devenir soi-même acteur du changement auprès des nombreux bénévoles qui œuvrent chaque jour pour les plus démunis. Votre don va permettre de financer des projets concrets qui viennent en aide aux plus vulnérables, qu’il s’agisse de personnes sans-abri ou de familles et d’enfants en grande précarité. Pour encourager les dons, l’administration fiscale offre la possibilité de déduire jusqu'à 75% son don de son impôt sur le revenu.
Pourquoi faire un don régulier à une association ?
Participer aux actions du Secours Catholique
Si les associations reçoivent des aides de l’État et des subventions des collectivités, cela ne suffit malheureusement pas à financer entièrement leurs missions. Les dons sont aujourd’hui vitaux pour assurer la pérennité des actions menées par les associations et leur survie. Un don, c’est une action. C’est le cas pour le Secours Catholique qui, depuis plus de 70 ans, œuvre auprès des plus démunis, en France et dans le monde, grâce à la générosité de ses bienfaiteurs.
Par ce type de donation, les bienfaiteurs participent à combler les inégalités, à faire avancer la société… Ce geste contribue aussi au bien-être du donateur. En effet, il a été prouvé scientifiquement que la générosité a des effets psychologiques, physiques et sociologiques bénéfiques.
Les avantages de la mensualisation des dons
Faire un don mensuel revêt plusieurs avantages :
- Tout d’abord, cela permet de lisser son don en plusieurs versements, sur plusieurs mois ou une année, pour ne pas avoir une trop grande sortie d’argent en une seule fois.
- Ensuite, la mensualisation des dons a un intérêt certain puisqu’elle permet d’apporter une aide plus soutenue en accompagnant les associations dans la durée, pour faire un travail de fond.
Pourquoi faire un legs au Secours Catholique ?
Choisir de faire un legs en faveur du Secours Catholique, c’est donner un moyen concret à l’association de poursuivre et de développer ses actions fraternelles pour les causes qui lui sont chères : la lutte contre la grande pauvreté et l’exclusion, en France comme à l’international. Cela passe par des mesures en faveur de l’enfance et de la famille, par le combat du mal logement et l’aide aux sans-abri, tout en favorisant l’emploi et l’insertion pour tous. Enfin, le Secours Catholique veille aussi au bien-être et à l’entraide en développant le lien social et en luttant contre l’isolement des plus fragiles.
Transmettre son patrimoine au Secours Catholique, c’est une façon concrète et sûre de faire perdurer ses propres valeurs et sa vision du monde.
Le Secours Catholique est une association reconnue d'utilité publique dont les ressources sont affectées à l'aide aux personnes en situation de précarité. À ce titre, nous sommes habilités à recevoir des legs, assurances-vie et donations, sans avoir aucun droit à verser à l'État. Ainsi, les biens ou les sommes qui nous sont transmis sont intégralement destinés à la lutte contre la pauvreté.
Pourquoi faire une donation de son vivant à une association ?
Donner une partie de son héritage à une association lui permet de pérenniser ses actions pour la lutte contre la précarité alimentaire et la lutte contre l’isolement social. Grâce à cet acte de générosité, vous soutenez notre combat pour venir en aide aux familles en difficulté. Vous donnez à votre patrimoine le pouvoir de changer les choses et faites perdurer vos valeurs et vos engagements auprès de millions de personnes en France et dans le monde. Ce don immédiat vous permet, en prime, de découvrir comment le Secours Catholique l’utilise et son impact sur ces causes qui vous tiennent à cœur.
Pourquoi se lancer dans le mécénat ?
S'engager dans un partenariat de mécénat avec le Secours Catholique, c’est s'ouvrir vers l'extérieur, donner une nouvelle dimension à son entreprise, et générer de nombreux bénéfices :
- Un moyen pour l’entreprise de concrétiser ses valeurs de partage et de solidarité à travers des actions concrètes.
- Un engagement mobilisateur pour les salariés désireux de s’impliquer dans des actions « solidaires ».
- Un engagement fédérateur autour d’événements internes ou externes, en lien direct avec le projet retenu. Le mécénat offre ainsi aux salariés impliqués une ouverture sur de nouvelles expériences, des responsabilités…
- Une occasion d’enrichir l’image d’une entreprise citoyenne, responsable vis-à-vis de la société. Votre engagement constitue une opportunité forte de communication et permet de créer des relations nouvelles avec les partenaires acquis ou potentiels de votre entreprise (collectivités locales, associations…).
Pourquoi transmettre son patrimoine ?
Transmettre son patrimoine à une association en faisant un legs ou une donation, c’est donner un sens à son héritage. Au travers de ce don, vous faites vivre vos valeurs et vos engagements. Ce geste généreux nous permet de poursuivre nos actions sur le terrain et de nous investir dans de nouveaux projets pour venir en aide à ces hommes, ces femmes et ces enfants dans le besoin. Ils ont besoin de nous pour fuir la pauvreté et l’isolement.
Votre amour de l’humanité caractérisé par la philanthropie vous pousse à vous soucier du bien-être des autres. Les entreprises s’engagent, elles aussi. Leur aide, au travers le mécénat est un soutien matériel et financier. Tous ces actes de générosité nous aident, chaque jour, à avancer vers un monde meilleur et nous vous en remercions.
Mais, comment transmettre son patrimoine ? La transmission du patrimoine peut se faire de différentes façons. Selon votre situation, vos projets et vos envies, vous pouvez faire le choix de donner par succession après votre décès ou faire une donation de votre vivant.
Puis-je obtenir un reçu fiscal pour un don par SMS ?
Tout don que vous effectuez vous permet d’obtenir une déduction de votre impôt sur le revenu.
Si vous êtes imposable, le reçu fiscal vous permet de bénéficier d’une réduction d’impôts de 75 % du montant de vos dons au Secours Catholique dans la limite de 537 €, et au-delà, d’une réduction d’impôts de 66 % dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
Pour obtenir votre reçu fiscal, merci d’en faire la demande en cliquant sur le lien contenu dans le SMS de confirmation qui vous est envoyé pour tout don supérieur ou égal à 5 €.
A tout moment, vous pouvez demander votre reçu fiscal par simple appel téléphonique au 01 45 49 73 50 (de 9h à 12h et de 13h à 17h30 du lundi au vendredi, prix d’un appel local) ou par mail à l’adresse service.donateurs@secours-catholique.org, en précisant la date d’envoi de votre SMS et votre N° de portable.
Vous recevrez votre reçu fiscal, une fois par an au début de l’année suivant l’envoi de votre(vos) don(s) par SMS.
Qu'est-ce que l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) ?
L’impôt sur la fortune immobilière (IFI) remplace depuis 2018 l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Comme son appellation l’indique, il concerne exclusivement le patrimoine immobilier non affecté à l’activité professionnelle : biens immobiliers bâtis (maisons, appartements, dépendances, etc.), mais également biens immobiliers non bâtis (terrains constructibles, terres agricoles). Les placements financiers ou les collections d’art ne sont par exemple pas pris en compte. Vous êtes soumis à l’IFI si votre domicile fiscal est en France et si, au 1er janvier de l’année en cours, votre patrimoine immobilier non professionnel excède une valeur nette d’un montant total de 1,3 million d’euros. Le taux d’imposition varie alors selon la valeur du patrimoine immobilier à date de déclaration (le taux maximal étant de 1,5 %) ; le calcul de cet impôt débute à 800 000 €, dès lors que vous êtes soumis à l’impôt sur la fortune immobilière.
A noter que tous les biens autres qu’immobiliers (titres, placements, œuvres d’art, meubles...) sont exclus du champ d’application de cet impôt.
Donner à la Fondation Caritas France vous permet de réduire tout ou partie de votre Impôt sur la Fortune Immobilière. Votre don est déductible à 75 % de votre IFI dans la limite de 50 000 € par an (soit un don de 66 666 €). Par exemple un don de 5 000 € vous revient à 1 250 €. Calculez directement le montant de votre réduction d’impôt grâce à notre calculette IFI (impôt sur la Fortune Immobilière)
Qu'est-ce que l'insertion professionnelle ?
Ce processus a pour but d’intégrer les individus en difficulté dans le monde du travail. Le retour à l’emploi étant une priorité tant pour des raisons financières que pour le développement personnel, il est fondamental de les accompagner vers un emploi durable.
Les plus éloignés du marché du travail sont, en majeure partie, les personnes en situation précaire, les jeunes, les personnes âgées, les personnes en situation de handicap, les demandeurs d’emploi de longue durée mais également les individus peu ou pas diplômés. En 2019, près de 50 % des personnes au chômage n’avaient aucun diplôme ou étaient uniquement titulaires du brevet des collèges.
Accès à la formation, aides financières, etc. : des dispositifs sont mis en place afin de les accompagner vers une réussite professionnelle.
Qu'est-ce que l'insertion sociale ?
L’insertion sociale est une action visant à aider les personnes isolées à s’intégrer dans la société. Cette lutte contre l’isolement social a pour objectif la socialisation de ces personnes exclues en favorisant les interactions avec leur environnement social. Le but est de leur permettre de mieux appréhender le monde qui les entoure, de créer des liens sociaux, d’améliorer leur bien-être général et de leur apporter stabilité et autonomie.
L’insertion professionnelle est l’une des étapes principales permettant l’insertion sociale des personnes isolées. Le retour à l’emploi est donc primordial pour aider les personnes à se reconstruire, trouver leur place dans la société et dans le monde professionnel.
Qu'est-ce que l'isolement social ?
Un individu qui a peu de relations durables dans sa vie, voire qui n’a pas du tout de relations, est en situation d’isolement social. Sans amis, sans membres de famille ou encore sans collègues de travail, une personne est en état de souffrance et de danger. Au-delà du nombre de relations, leur qualité est aussi à prendre en compte ; des liens de mauvaise qualité sont également un facteur d’isolement.
Que devient votre don ?
Au Secours Catholique, nous avons à cœur d’être le plus transparent possible sur l’usage des fonds reçus. Depuis plus de 70 ans, nous œuvrons en faveur des plus fragiles. En nous soutenant, vous contribuez à agir pour faire reculer la pauvreté et les inégalités. Nous aidons plus de 3 millions de personnes partout à travers la France et à l’international avec l’aide de notre réseau de 58 900 bénévoles. Notre action est rendue possible grâce à la générosité des donateurs qui représentent 83 % de nos ressources financières. Nous avons pour ambition de lutter contre toutes les causes de pauvreté, d’inégalité et d’exclusion, sans distinction d’origine ou de religion. Pour ce faire, nous intervenons sur un large champ d’action. N’hésitez pas à consulter notre page dédiée : Que deviennent vos dons ?
Quel est le montant de la réduction d’impôt pour l’entreprise ?
Les dons aux associations d’utilité publique permettent aux entreprises de bénéficier d’une réduction d’impôts.
Si l’entreprise est soumise à l’impôt sur les sociétés ou l’impôt sur le revenu, elle peut obtenir un taux de réduction. La déduction se fait sur le montant des impôts dû.
Ce taux est calculé en fonction de la nature et la finalité du don. Pour les dons versés à une association oeuvrant dans le soutien des plus pauvres, comme le Secours Catholique Caritas France le taux est de 60%.
La limite est de 20 000 € ou 5 ‰ du chiffre d'affaires annuel hors taxe de l’entreprise ou de 20 000€ (montant 2022, susceptible d’être réactualisé chaque année via la loi de finances) si ce chiffre d’affaire est inférieur à 4 Millions d’Euros.
Dans le cas du mécénat de compétence, il existe également un plafond du montant défiscalisable pour les entreprises concernées. Nos spécialistes sont à votre disposition pour échanger là dessus..
Si le plafond fixé est dépassé, il est aussi possible de bénéficier d’un report sur les 5 exercices suivants.
Quel type de dons peut-on faire pour bénéficier d'une réduction sur l'IFI ?
Pour bénéficier d’une réduction sur l’IFI, deux formes de dons sont possibles :
- les dons en numéraire (remise d’espèces, virement, chèque) ;
- les dons de titres (le cours retenu est alors le cours moyen de la bourse au jour de la transmission).
Qu’il s’agisse de l’un ou de l’autre don, la réduction de sa valeur sur l’IFI se fait dans les mêmes conditions.
Quel type de projet puis-je soutenir ?
Vous pouvez venir en aide aux personnes vulnérables dans votre région, partout en France et dans le monde entier. Mettez votre philanthropie en action pour apporter votre soutien au service de nos bénévoles pour offrir à tous une place dans la société. Définissez avec nos équipes la thématique qui correspond à vos valeurs et la cause que vous souhaitez défendre.
Offrir aux plus fragiles la possibilité de se nourrir, se vêtir, se loger, s’insérer dans la vie sociale et professionnelle, avoir un soutien psychologique... nombreuses sont les actions à soutenir pour leur venir en aide.
Quelle est la différence entre legs et donation ?
Attention à ne pas confondre legs et donation. En effet, si ces procédés permettent tous les deux d’organiser la transmission de son patrimoine, il existe une subtilité majeure :
- la donation est un acte immédiat qui s’effectue du vivant de la personne ; cet acte de générosité peut concerner aussi bien une somme d’argent que plusieurs biens, meubles et immeubles.
- le legs, lui, prend effet uniquement au décès. De votre vivant, vous disposez librement de tous vos biens. Vos volontés de transmission s’effectueront post-mortem selon les dispositions testamentaires que vous aurez prises préalablement.
Quelle est la situation des sans-abri et mal-logés en France ?
Vivre dans la rue est encore malheureusement d’actualité dans de nombreux pays. La France n’est pas en reste. À ce jour, on estime le nombre de personnes sans-abri à plus de 300 000 en France, et ce, quelles que soient les tranches d’âge. Ce phénomène de sans-abrisme n’a cessé d’évoluer sur la dernière décennie, y compris dans les grandes villes comme Paris. Car si les personnes sans-abri comprennent la population sans domicile fixe, elles regroupent également les personnes accueillies en centre d’hébergement d’urgence ou vivant en bidonville. Dans tous les cas, il s’agit de situations de grande précarité.
Ces 300 000 individus sans-abri ne sont que la partie émergée de l’iceberg : en effet, on estime à 4 millions la population générale de personnes mal-logées en France (selon le dernier rapport de la Fondation Abbé Pierre). Parmi elles, 1 sur 4 ne dispose même pas de logement personnel. Et les exemples sont nombreux : des jeunes travailleurs contraints de retourner vivre chez leurs parents, ou des adultes accueillis chez des tiers. Et que dire de ceux qui vivent dans un espace réduit, des couples avec enfants vivant dans un minimum de mètres carrés, et de ceux qui n’ont pour seul toit qu’un logement de fortune (un abri précaire en camping, une cabane...). La situation des sans-abri et mal-logés en France reste inquiétante malgré les dispositifs sociaux d’aide en place. Il y a une grande urgence à soutenir le combat contre cette précarité de logement.
Quelle réduction sur l'IFI puis-je obtenir grâce à mon don ?
Il est possible de réduire voire d’annuler entièrement son impôt sur la fortune immobilière en faisant un don à la Fondation Caritas France. Ce don étant déductible de votre IFI à hauteur de 75 % de son montant, vous pourrez atteindre une réduction complète de l’IFI. Prenons un exemple concret. Vous choisissez de faire un don à la Fondation Caritas France d’une valeur de 4 000 € alors que votre IFI s’élève à 3 000 € ; le montant de votre don vous permet alors d’obtenir une réduction fiscale de 75% de 4000€, soit 3000€, la valeur totale du montant de votre IFI et votre don ne vous revient donc qu’à 1 000 €. Voilà un calcul simple et efficace mais qui vous permet d’agir concrètement aux côtés de la Fondation Caritas France dans sa lutte quotidienne contre les inégalités et la pauvreté.
Quelle réduction sur l'IFI puis-je obtenir grâce à mon don ?
Il est possible de réduire voire d’annuler entièrement son impôt sur la fortune immobilière en faisant un don à la Fondation Caritas France. Ce don étant déductible de votre IFI à hauteur de 75 % de son montant, vous pourrez atteindre une réduction complète de l’IFI. Prenons un exemple concret. Vous choisissez de faire un don à la Fondation Caritas France d’une valeur de 4 000 € alors que votre IFI s’élève à 3 000 € ; le montant de votre don vous permet alors d’obtenir une réduction fiscale de 75% de 4000€, soit 3000€, la valeur totale du montant de votre IFI et votre don ne vous revient donc qu’à 1 000 €. Voilà un calcul simple et efficace mais qui vous permet d’agir concrètement aux côtés de la Fondation Caritas France dans sa lutte quotidienne contre les inégalités et la pauvreté.
Quelles associations sont habilitées à recevoir des dons ?
Vous souhaitez faire un don à une association ; oui, mais quelles associations sont réellement habilitées à recevoir votre don ? Avant de se lancer dans un acte de générosité, il convient d’identifier les conditions auxquelles les associations doivent impérativement répondre pour recevoir votre don. Qu’il s’agisse de fondations, d’organismes publics ou privés, de fonds de dotation, tous doivent remplir trois conditions incontournables encadrées par la loi
- avoir un but non lucratif
- avoir un objet social et une gestion désintéressée
- ne pas fonctionner au profit d'un cercle restreint de personnes
Le Secours Catholique remplit ces conditions et est donc habilité à recevoir des dons.
Quelles formalités administratives pour le mécénat d’entreprise ?
Les formalités administratives encadrant un mécénat d’entreprise dépendant du statut juridique de l’entreprise. Ce ne sont pas les mêmes obligations pour un entrepreneur individuel, une société soumise à l’impôt sur le revenu, ou une société soumise à l’impôt sur les sociétés.
En tout cas, à partir de 10 000 € de dons versés au cours d'un même exercice, le donateur doit réaliser une déclaration supplémentaire pour obtenir le droit à une réduction d’impôt.
Pour ce faire, l’entreprise mécène doit remplir l’annexe du formulaire 2069 RCI-SD, contenant dans les 3 mois suivant la clôture de l’exercice :
- la déclaration du montant et de la date du don ;
- l’identité du bénéficiaire ;
- les contreparties accordées.
Pour prouver la valeur et la véracité des dons effectués, l’organisme bénéficiaire délivre un reçu fiscal. Ce dernier devra être présenté sur demande à l’administration fiscale lors d’éventuels contrôles portés sur la fiscalité du mécénat.
Quel que soit le type de mécénat des entreprises, le don est une nouvelle manière de créer de la fierté chez les salariés. Les opérations de mécénat permettent de créer un sentiment d’appartenance et de motivation pour les salariés, car le travail revêt une nouvelle facette : celle de la solidarité et de l’entraide.
Quelles sont les aides aux migrants en France ?
Chaque jour, dans le monde, de nombreuses personnes sont contraintes de fuir leur pays pour de multiples raisons et par conséquent, le nombre de migrants se dirigeant vers la France augmente. Afin de les accueillir au mieux, répondre à leurs besoins fondamentaux et respecter leurs droits, l’État et l’Union Européenne ont mis en place différentes aides.
Les aides pour les clandestins
Peu d’aides sont accordées aux immigrés en situation irrégulière :
- Les hébergements d’urgence : en France, les clandestins peuvent bénéficier d’un hébergement d’urgence. C’est un droit accordé à toute personne n’ayant pas de lieu où dormir, qu’elle soit en situation régulière ou irrégulière. Pour contacter les centres d’hébergement d’urgence, il faut composer le 115 qui est un numéro d’urgence sociale gratuit ouvert 7 jours sur 7. Le correspondant guide les personnes en difficulté vers un centre selon les disponibilités.
- L’aide médicale de l’État (AME) : c’est un dispositif permettant l’accès aux soins par les personnes en situation irrégulière. Les soins médicaux, d’hospitalisation et de maternité sont pris en charge dans la limite des tarifs de la Sécurité sociale. Cette aide de l’État est attribuée aux personnes résidant en France depuis plus de 3 mois sous conditions de ressources. Pour obtenir la carte AME valable 1 an, il est nécessaire de remplir le formulaire de « demande d’aide médicale de l’État ».
- Les aides locales : elles sont proposées par les villes, les départements et les régions. Il peut s’agir de la gratuité des transports, de la cantine scolaire, etc. Il faut se rapprocher d’une mairie pour connaître les aides locales.
- L’aide au retour volontaire (ARV) : cette aide permet de simplifier le retour des immigrés dans leur pays d’origine. Elle se présente sous la forme d’une aide administrative et d’une allocation forfaitaire. L’aide au retour volontaire, accordée sous conditions, doit être demandée à l’aide du formulaire de demande d’aide au retour à transmettre à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).
Les aides pour les demandeurs d'asile
Les demandeurs d’asile, après avoir quitté leur pays d’origine et être arrivés en France, demandent l’asile. Ils sollicitent l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) pour obtenir le statut de réfugié ou la protection subsidiaire. Durant la période d’instruction de leur dossier, ils peuvent bénéficier de davantage d’aides :
- L’allocation pour demandeur d’asile (ADA) : n’étant pas autorisés à travailler avant un délai de 6 mois, les demandeurs d’asile majeurs perçoivent une allocation sous conditions de ressources le temps du traitement de leur dossier.
- Les hébergements d’urgence : au même titre que les clandestins, les demandeurs d’asile peuvent être accueillis dans des hébergements adaptés ou dans des centres d’accueil de demandeurs d’asile (CADA) le temps de l’instruction de leur demande. L’hébergement en CADA est attribué par l’OFII.
- La protection universelle maladie (PUMA) : c’est une prise en charge des frais de santé attribuée pendant l’étude de la demande d’asile avec un justificatif de résidence en France de plus de 3 mois. En attendant d’obtenir la PUMA, les demandeurs bénéficient d’une prise en charge des soins d’urgence. La demande est à effectuer auprès de la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM).
- La complémentaire santé solidaire (CSS) : cette prise en charge de soins non remboursés par la Sécurité sociale est attribuée sous les mêmes conditions que la PUMA.
- La réunification familiale : une fois le demandeur protégé, il peut solliciter les autorités consulaires françaises en demandant des visas pour faire venir sa famille.
- Les aides locales : à l’instar des clandestins, les demandeurs peuvent percevoir différentes aides d’une agglomération, du département ou de la région en se rapprochant d’une mairie.
- L’aide au retour volontaire : comme indiqué plus haut, elle permet de faciliter leur retour dans leur pays d’origine grâce à une aide administrative et une allocation forfaitaire. Elle doit être demandée à l’aide du formulaire de demande d’aide au retour à transmettre à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) et est admise sous conditions.
Les aides pour les étrangers en situation régulière
Lorsque l’étranger obtient légalement le droit de résider en France grâce à un titre ou une carte de séjour, il devient un immigré. On dit alors qu’il est en situation régulière. L’étranger en situation régulière peut recevoir les mêmes aides que les Français :
- Le revenu de solidarité active (RSA) : ce revenu peut être perçu au bout de 5 ans de détention d’une carte de séjour pour les plus de 25 ans sans emploi, sous conditions de ressources.
- Les allocations familiales : elles peuvent être versées aux immigrés qui ont au minimum un enfant à charge résidant en France. Elles sont calculées selon les ressources du foyer.
- L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) : l’allocation est attribuée aux étrangers en situation régulière de plus de 65 ans détenant depuis 10 ans un titre de séjour permettant de travailler sous conditions de ressources.
- L’aide pour le logement (APL, ALF ou ALS) ou l’attribution d’un logement social : selon leurs ressources, les immigrés peuvent percevoir une aide pour le logement à demander auprès de la CAF. Les immigrés ayant des revenus modestes peuvent faire une demande de logement social (HLM). Ce logement à loyer modéré est financé en partie par l’État.
- Les aides à la santé : les immigrés ayant un emploi sont couverts par la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM). Ceux ne travaillant pas sont couverts par la protection universelle maladie (PUMA).
- Les aides locales.
- Le regroupement familial.
Quelles sont les aides de l'État pour les personnes sans-abri ?
Face à cette urgence sociale, des aides de l'État ont été mises en place pour les personnes sans-abri :
Le SAMU Social
Le SAMU Social regroupe un collectif d’associations non gouvernementales (Croix-Rouge, Secours Catholique…) venant en aide aux personnes démunies. Ainsi, pour répondre aux besoins vitaux des sans-abri, le SAMU Social développe et coordonne plusieurs services d’urgence : des équipes mobiles animées par des bénévoles partent à la rencontre des personnes à la rue, en errance, afin de conserver avec elles un lien social primordial et de s’assurer de leur état de santé ; un numéro d’urgence, le 115, oriente 24 h/24 vers des solutions d’hébergement d’urgence et de soin ; des lieux d’accueil de jour permettent aux plus démunis de se réchauffer en hiver et d’avoir accès à un minimum d’hygiène ; des services intégrés d’accueil et d’orientation épaulent les personnes à la rue dans leur parcours de retour au logement et à l’emploi.
Le plan pour le logement d’abord
Le plan pour le logement d'abord propose un certain nombre de mesures en direction des personnes sans-abri ou en situation de grande précarité afin qu’elles retrouvent rapidement un logement et surtout qu’elles le conservent. Cela passe par des loyers bas pour les familles, par exemple. Ce plan met également tout en œuvre pour éviter les expulsions locatives. Sortir de la rue ne doit pas rester un projet vain.
Les chèques de services
Les chèques de services, financés par l’État et distribués par les associations comme le Secours Catholique, ont permis aux personnes sans domicile d’acheter des produits alimentaires et d’hygiène pendant la crise sanitaire.
L’intermédiation locative
L’intermédiation locative : trouver un logement quand on est à la rue n’est pas simple. Ce dispositif vient simplifier et sécuriser l’interface entre le bailleur et le locataire grâce à l’intervention d’un tiers social. Les bailleurs qui s’engagent dans ce processus peuvent alors bénéficier d’une déduction fiscale importante sur leurs revenus locatifs.
Quelles sont les associations pouvant recevoir un legs ?
Les legs peuvent être reçus par toutes les personnes physiques mais aussi par les personnes dites morales, dont les associations, qui doivent impérativement être reconnues d'utilité publique comme c’est le cas du Secours Catholique-Caritas France, association reconnue d’utilité publique. Elles bénéficient alors d’une exonération des droits de succession prévue au code général des impôts : la totalité du legs est ainsi consacrée aux missions d’intérêt général de l’association apte à recevoir des legs.
Quelles sont les avantages de souscrire une assurance-vie en faveur du Secours Catholique ?
Il y a de nombreux avantages au fait de souscrire une assurance-vie en faveur du secours catholique.
- Vous continuez à faire vivre vos valeurs et vos engagements bien après votre décès, en permettant le financement de programmes d’envergure en faveur des plus démunis.
- Votre vie durant, vous continuez de profiter de votre capital et pouvez en disposer à tout moment, selon vos besoins.
- Vous bénéficiez de tous les avantages du contrat d’assurance-vie : taux de rémunération, fiscalité…
- Simple à mettre en place pour vous, la transmission est aussi simple à réaliser pour le Secours Catholique : pas de notaire, pas de frais annexes et des fonds rapidement disponibles.
- Le Secours Catholique reçoit l’intégralité des fonds qu’il pourra utiliser pour mener à bien ses actions de lutte contre la pauvreté, puisqu’en tant qu’association reconnue d’utilité publique, il est exonéré de droits de succession.
Sachez qu’il est possible de réserver son assurance-vie à un proche, tout en inscrivant le Secours Catholique comme second bénéficiaire. Cela permet de faciliter la transmission en cas de refus ou de décès du premier bénéficiaire.
Quelles sont les causes de l'isolement social ?
De nombreuses causes peuvent provoquer un isolement social, elles sont généralement liées aux accidents de la vie que tout un chacun peut rencontrer :
- Un changement brutal de situation familiale : une séparation ou un décès peuvent être sources d’isolement en diminuant les liens sociaux. Aujourd’hui, près de 72 % des femmes âgées de 85 à 89 ans sont veuves.
- Une perte d’emploi ou un départ à la retraite font perdre du jour au lendemain un lien précieux avec l’extérieur, des collègues, un environnement de travail dans lequel se jouent des interactions sociales.
- Une situation financière précaire ne permet pas d’envisager des loisirs : une simple sortie au restaurant ou une inscription à une activité sociale à partager ne sont plus possibles. Avec un minimum de revenus, le logement et la nourriture sont priorisés.
- Des problèmes de santé ‒ qu’ils soient mentaux (pertes de mémoire, dépression, démence, etc.) ou physiques (perte d’autonomie qui engendre des difficultés voire une impossibilité à se déplacer) ‒ éloignent du contact avec les autres.
Quelles sont les conséquences de la solitude ?
La solitude renforce le sentiment d’exclusion de la société. Elle a des répercussions graves tant sur le moral que sur l’intégrité physique de la personne en situation d’isolement social :
- Une source de stress : quand vous n’avez plus personne avec qui échanger pour prendre du recul face à une situation, il est souvent difficile de faire preuve d’objectivité et d’optimisme. Le stress, à lui seul, favorise alors l’apparition de maladies. Puis, peu à peu, la peur de renouer des liens s’installe.
- Un chemin vers la dépression : en s’isolant, on se replie sur soi jusqu’à en perdre son estime. Des sentiments mêlés de honte, de désespoir envahissent fréquemment les personnes en situation d’isolement social.
- Le « laisser-aller chez les seniors » : quand on se retrouve cloîtré dans son domicile, à cause d’une perte de mobilité ou parce que plus personne ne vient nous rendre visite, il n’est pas rare de se laisser aller. C’est le cas des personnes âgées isolées qui, peu à peu, ne se nourrissent plus correctement, n’assurent plus un minimum d’hygiène corporelle et n’ont plus recours aux soins médicaux dont elles auraient besoin.
Quelles sont les démarches à effectuer ?
Si vous souhaitez nous soutenir sur l’un de nos projets, ou simplement nous faire un don à l’échelle nationale, contactez le responsable mécénat.
Si vous souhaitez soutenir des projets locaux, ou simplement faire un don sur votre département, contactez votre délégation. En cas de doute le responsable mécénat pourra vous orienter.
Nous vous indiquerons les démarches à suivre, qui pourront donner lieu à une convention. Le versement donnera lieu à un reçu fiscal, envoyé par nos soins. Nous déterminerons ensuite avec vous le type de lien de partenariat que nous pourrions construire.
Quelles sont les engagements du Secours Catholique concernant le mécénat ?
Le Secours Catholique-Caritas France s’engage à vous informer, étape après étape, du déroulement du projet, du respect des objectifs fixés et de son efficacité. Si vous le souhaitez, nous nous engageons à :
- Vous communiquer régulièrement un rapport exhaustif sur l’avancement de l’action conduite.
- Établir un bilan final de l’opération, de ses résultats, de son impact.
- Organiser un événement et communiquer au sein de votre entreprise et/ou auprès du grand public, en fonction du sujet concerné.
Quelles sont les politiques publiques mises en place pour favoriser la mobilité solidaire ?
Depuis 2019, la loi d’orientation des mobilités s’inscrit dans un enjeu de politique publique clair : rendre les transports accessibles à tous, en les rendant plus faciles d’accès, moins chers et plus propres. Un combat quotidien qui s’appuie sur de nombreux acteurs que sont les autorités organisatrices de mobilité (AOM). Ces dernières ont pour mission d’identifier les problématiques de mobilité sur leur territoire et de développer des services de mobilité solidaire pour y remédier, en coopération avec les acteurs sociaux, d’insertion et de l’emploi.
Permettre à tous de se déplacer au quotidien passe par de nouvelles solutions :
Les collectivités territoriales développent ainsi de plus en plus le covoiturage sur leurs communes, la mise en place de navettes autonomes ou encore de transports à la demande.
Les employeurs ont aussi un rôle majeur à jouer dans la mobilité domicile-travail : un dialogue social s’instaure avec les entreprises pour qu’elles facilitent le trajet de leurs salariés grâce par exemple à des titres mobilité, à l’instar des tickets restaurant. Elles peuvent également participer à un forfait mobilité durable afin d’inciter leurs agents à se déplacer à vélo ou en covoiturage.
Enfin, il s’agit de rendre le permis de conduire plus accessible financièrement et de faciliter l’accès aux transports des personnes en situation de handicap avec notamment la gratuité pour les accompagnateurs.
Quelles sont les raisons des non-recours et non-accès aux droits ?
Il existe plusieurs causes qui expliquent ce non-recours et ce non-accès aux droits, ce qui plonge les personnes rencontrant des difficultés dans une immense précarité :
- Le manque d’informations sur les différentes prestations sociales existantes.
- La complexité des démarches administratives (formulaires incompréhensibles et difficiles à remplir pour certains, non-accès à internet, difficulté à rédiger un courrier, etc.).
- La lenteur des procédures qui en décourage plus d’un.
- Le refus de recevoir des aides par peur d’être stigmatisé comme un « assisté » par l’agent administratif, l’entourage et la population.
- L’envie de garder une autonomie financière et de ne pas dépendre d’autrui.
Quels sont les avantages d’une donation de son vivant ?
Donation et réduction fiscale
Lors d’une donation en faveur d’une association, le donateur bénéficie d’avantages fiscaux. Le montant de la réduction des impôts diffère selon le type d’association :
- Organisme d’intérêt général ou reconnu d’utilité publique : Le donateur bénéficie d’une réduction d’impôt sur le revenu de 66 % du montant du don (dans la limite de 20 % du revenu imposable).
- Organisme d’aide aux personnes en difficulté ou aux victimes de violences domestiques : Le taux de la réduction est, dans ce cas, de 75 % pour un don inférieur ou égal à 1000 €. Au-delà, le taux est de 66 %. Cette réduction de 75 % a été appliquée à titre exceptionnel en 2020 et 2021 La loi de finances (Article 77) prolonge cet abattement jusqu’au 31 décembre 2023.
Une exonération de droits sur les donations pour les associations ?
En France, lorsque le donataire est une fondation ou une association reconnue d’utilité publique, il y a une exonération des droits de mutation. Si vous faites le choix de soutenir les actions Secours Catholique en faisant une donation d’une part de votre patrimoine, 100 % de la somme sera reversée à l’association pour venir en aide aux plus démunis.
Quels sont les dispositifs de l'État pour favoriser l'insertion sociale et professionnelle ?
Afin d’accompagner les personnes isolées et favoriser leur insertion sociale et professionnelle, l’État a mis en place plusieurs dispositifs d'aides :
- Revenu de solidarité active (RSA) : cette allocation vise à assurer un revenu minimum aux personnes les plus démunies ayant de faibles ressources.
- Mesure d’accompagnement social personnalisé (MASP) : ce contrat d’accompagnement vient en aide aux personnes rencontrant un parcours difficile et ne sachant pas gérer leur patrimoine.
- Contrat de professionnalisation : il s’agit d’un contrat en alternance permettant aux jeunes de bénéficier d’une formation à l’école tout en pratiquant leur métier au sein d’une entreprise pour développer leurs compétences. L’État prévoit une aide financière destinée aux employeurs engagés dans ce projet d’insertion professionnelle pour la jeunesse.
- Fonds d’aide aux jeunes (FAJ) : ce service est destiné aux jeunes de 18 à 25 ans en grande difficulté financière et n’étant éligibles à aucune autre aide.
- Fonds de solidarité pour le logement : c’est une aide financière pour les personnes rencontrant des difficultés à payer les dépenses liées à leur logement.
Quels sont les dispositifs d’aides pour les familles en difficulté ?
Il existe de nombreux dispositifs d’aides pour les familles en difficulté :
- L’aide sociale à l’enfance départementale : cet appui du département aide les enfants et leur famille en difficulté psychosociale par différentes actions de prévention et de soutien matériel ou éducatif. Cela peut même aller jusqu’à la prise en charge totale de l’enfant pour les familles en détresse.
- Les aides financières mises en place par l’État : des cartes « famille nombreuse » permettent de bénéficier de tarifs abordables pour les transports, les activités de loisirs, etc. Des primes de rentrée et de Noël sont versées. L’agence de recouvrement des impayés de pensions alimentaires aide les familles monoparentales en cas d’abandon ou d’impossibilité de paiement par l’autre parent. La Caf peut venir en aide jusqu’aux 3 ans de l’enfant en versant un taux d’allocation de base de 182 euros. De nombreuses allocations parentales sont adaptées aux différentes situations de la vie.
- Les aides au logement : payer son loyer ou les factures liées à l’habitat représente une problématique courante pour les familles en difficulté. Aussi, des aides existent dans ce domaine à l’instar du fonds de solidarité pour le logement. Le FSL est une aide financière qui permet d’accéder au logement (grâce à une aide pour payer la caution par exemple ou au financement de l’assurance habitation) ou de s’y maintenir lorsque des difficultés financières se présentent.
Quels sont les enjeux de l'insertion sociale et professionnelle ?
Depuis de nombreuses années, les associations engagées pour l’insertion sociale et l’insertion professionnelle font face à une importante mutation des enjeux de notre société. Pour pallier ces problèmes et continuer à lutter efficacement contre l’exclusion des personnes isolées, les structures doivent innover et se diversifier continuellement afin d’évoluer au même rythme que la société actuelle, en prenant en compte ses changements et les contraintes inhérentes à ces derniers.
Les enjeux sociaux :
De multiples actions sont mises en place pour accompagner les personnes en difficulté vers un emploi stable. Pour ce faire, les structures ont pour objectif d’augmenter l’employabilité pour que chaque personne au chômage puisse trouver plus aisément un emploi et le conserver. L’accès à des formations qualifiantes ou certifiantes permet de développer les compétences pour un retour rapide à l’emploi. Au-delà du savoir-faire, il est également nécessaire de travailler sur le savoir-être pour s’adapter à la culture de l’entreprise et améliorer les relations humaines. Et pour se donner davantage de chance, il faut également réduire les freins sociaux qui entravent le retour à l’emploi (problèmes de logement, de transport, de santé, etc.). Tout cela participe à assurer un avenir prometteur dans le monde professionnel.
Les enjeux économiques :
En France, la concurrence est de plus en plus présente sur le marché du travail, notamment dans les secteurs les plus prisés pour l’insertion professionnelle comme le BTP et les services à la personne. En réponse à cette évolution de leur environnement, les structures d’insertion cherchent de nouvelles voies de développement. Elles se tournent vers d’autres secteurs et d’autres métiers dans le médico-social, l’habillement, l’évènementiel, le numérique, la lutte contre la précarité énergétique, etc. Elles se tournent également vers le réemploi et l’économie circulaire qui sont en pleine expansion.
Renforcer les liens avec les entreprises est également un atout pour offrir de nouvelles perspectives de recrutement aux personnes en recherche d’emploi. Au travers d’échanges, de réunions, de salons, de co-entreprises ou de clubs d’entreprises, les structures maintiennent une relation stable avec les différents partenaires pouvant proposer des opportunités professionnelles et des emplois durables.
Quels sont les enjeux de la mobilité solidaire ?
Aujourd’hui, on dénombre 13,3 millions d’individus en situation de « précarité mobilité » en France. Un constat alarmant, alors même que la crise énergétique actuelle va accroître ce phénomène. On pense à tort que la précarité énergétique se limite au seul logement ; elle s’étend également aux questions de mobilité. Obtenir son permis de conduire, acheter un véhicule, se fournir en carburant... autant de dépenses de mobilité qui pèsent de plus en plus sur le pouvoir d’achat des citoyens et en particulier de ceux qui vivent loin des grandes métropoles. La mobilité solidaire répond à ces enjeux des territoires. Elle est aussi une solution face à un enjeu social grandissant : l’isolement. Maintenir et développer le lien social est vital pour une grande partie de la population vivant dans des territoires éloignés dépourvus de transports.
Qui est touché par l'isolement social ?
L’isolement social concerne tout le monde, à n’importe quel âge de la vie. Mais ce phénomène d’isolement tend à s’accentuer avec l’âge. En effet, aujourd’hui, 1 Français âgé sur 4 est isolé. La population n’a jamais été aussi importante en France et pourtant, près de 1,5 million de personnes de plus de 75 ans font face à une solitude forcée. Le lien social n’est pas présent pour tous. La précarité et le handicap sont deux facteurs reconnus dans l’isolement social. Les situations de pauvreté et de perte d’autonomie ne facilitent pas la possibilité de sortir de chez soi ou des structures d’hébergement dans lesquelles on se trouve, comme les EHPAD, les résidences ou les foyers. Le tissu social s’appauvrit alors et c’est sa santé mentale que l’on met en danger. L’âge charnière se situe entre 79 et 83 ans, correspondant généralement à l’entrée dans la dépendance, avec un risque d’isolement social accru. L’accompagnement des plus anciens et des plus pauvres est une priorité.
Qui peut faire du bénévolat ?
Tout le monde peut s’engager dans une mission de bénévolat. Tous les profils sont les bienvenus : salarié, retraité, étudiant, demandeur d’emploi, chef d’entreprise, profession libérale… Le bénévolat s’exerce généralement en complément d’une activité principale quotidienne ; l’essentiel étant qu’il n’y ait aucun conflits d’intérêts entre l’activité professionnelle exercée et le domaine dans lequel on déploie son action de bénévolat.
Les mineurs sont même de plus en plus nombreux à s’engager dans le bénévolat et participent à des missions qui leur sont dédiées telles que l’aide aux devoirs, les visites aux personnes âgées ou encore l’animation d’ateliers. Au secours catholique, nos offres de bénévolat sont variées et s’adaptent à tous les profils. Qu’il s’agisse de missions bénévoles ponctuelles ou de missions bénévoles longues durées, chacun peut trouver chaussures à son pied, en fonction de ses envies et de son temps libre.
Qui puis-je contacter pour avoir des renseignements complementaires pour le don par SMS ?
Vous pouvez contacter le service donateur par téléphone au 01 45 49 73 50 (de 9h à 12h et de 13h à 17h30 du lundi au vendredi, prix d’un appel local) ou par mail à l’adresse service.donateurs@secours-catholique.org.
Qui sont les acteurs de la mobilité solidaire ?
La mobilité solidaire s’appuie sur de nombreux partenaires qui mettent en place des solutions et projets de mobilité solidaire :
Le département, de par sa compétence sociale, demeure un acteur principal de la mobilité solidaire. Il assure ainsi le transport des élèves en situation de handicap vers leurs écoles.
La commune, par le biais de son centre communal d’action sociale (CCAS), offre un accompagnement à la mobilité à ses administrés qui en font la demande.
Les associations et acteurs privés ont un rôle primordial et complémentaire dans le développement de la mobilité solidaire ; ils peuvent ainsi proposer des plateformes de mise en relation de conducteurs bénévoles et de bénéficiaires par exemple.
Qu’est-ce que la mobilité solidaire ?
La mobilité solidaire est une solution pour remédier aux problèmes de transport rencontrés par des personnes vulnérables d’un point de vue économique ou social, ou en situation de handicap physique ou mental. La mobilité solidaire s’inscrit dans un objectif de politique publique qui vise à redonner de l’autonomie à chacun, quel que soit son territoire. Développer la mobilité solidaire, c’est participer à l’égalité des chances de chaque individu de s’insérer dans la société et d’avoir accès à l’emploi, à la formation, aux soins, etc.
Qu’est-ce que la philanthropie ?
La philanthropie se traduit par la bienfaisance, un amour de l’humanité et une tendance à vouloir le bien-être des autres. Ce sentiment, souvent issu d’une histoire personnelle, entraîne les Hommes à effectuer des actes de générosité pour venir en aide aux plus démunis. Le Secours Catholique accueille les philanthropes afin de soutenir, ensemble, des actions et contribuer à faire émerger des initiatives et des projets innovants et expérimentaux pour améliorer les conditions matérielles et sociales des Hommes.
Qu’est-ce que la précarité alimentaire ?
La précarité alimentaire est une situation dans laquelle un individu ne peut avoir accès à une alimentation saine et variée, en quantité suffisante pour lui et sa famille, du fait de sa vulnérabilité économique et sociale.
Les chiffres de la précarité alimentaire en France
La précarité alimentaire est étroitement liée à la pauvreté monétaire. En France, près de 9,3 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, soit près de 15 % de la population. Parmi elles, 7 millions sont concernées par l’aide alimentaire. Un chiffre qui ne reflète malheureusement pas la réalité des besoins, car faire appel à l’aide alimentaire reste encore aujourd’hui une démarche difficile. Cette conséquence directe de la pauvreté touche des profils très variés : des hommes seuls, sans logement, bénéficient plutôt de distributions de repas tandis que les familles, pour beaucoup monoparentales avec enfants, se tournent vers les épiceries sociales et la distribution de colis alimentaires mises en place dans le cadre de l’aide aux familles en difficulté. Avec la crise sanitaire, la précarité des bénéficiaires de l’aide alimentaire s’est accrue et de nouveaux profils ont dû y avoir recours ; les étudiants, souvent étrangers, ont été les premiers impactés de la crise sanitaire dans ce domaine. Revenus précaires ou insuffisants, accidents de la vie (maladie, chômage, décès d’un conjoint…) sont autant de causes qui peuvent brutalement conduire à la précarité alimentaire.
Les conséquences de la précarité alimentaire
Les conséquences de la précarité alimentaire sont nombreuses. La première est les problèmes de santé qui découlent d’une mauvaise alimentation. À commencer par la faim et l’épuisement qui guettent dès que les repas sont sautés. À plus long terme, sans accès à des produits alimentaires frais, des fruits et des légumes en quantité suffisante, c’est le manque de vitamine D qui apparaît ; l’anémie, le cholestérol et le diabète sont aussi des conséquences graves de la précarité alimentaire. En effet, la population en situation d’insécurité alimentaire se nourrit souvent de plats trop gras, de mauvaise qualité nutritionnelle, ce qui favorise l’obésité. L’impact sur la santé des enfants est également reconnu : carence, retard de croissance, système immunitaire affaibli… les conséquences d’une mauvaise nutrition sont lourdes et parfois irréversibles.
Enfin, la seconde conséquence majeure de la précarité alimentaire est l’isolement social : un sentiment de honte envahit souvent les bénéficiaires de l’aide alimentaire qui s’isolent alors. Quand on ne va plus faire ses courses, qu’il nous est impossible de partager un repas, le lien social disparaît peu à peu jusqu’à ne plus avoir pour seul contact extérieur les associations et structures d’aides alimentaires.
Qu’est-ce que le mécénat aux associations ?
Un mécénat, pour une entreprise, c’est le fait de verser un don à une association pour soutenir une œuvre d’intérêt général. Le soutien matériel se fait sans contrepartie en retour.
On entend parfois parler du terme de parrainage, dans les relations entre les entreprises et les organismes associatifs. Pourtant, ce n’est pas tout à fait la même chose. Le parrainage implique qu’une contrepartie directe ou un bénéfice peut être retiré de ce don par l’entreprise. En anglais, le parrainage correspond d’ailleurs plutôt au terme “sponsoring”. Le parrainage ne peut pas être défiscalisé, et ses bénéfices font partie du secteur lucratif de l’association.
Le mécénat permet de faire un don à une association, comme pourrait le faire une personne physique, mais au nom d’une personne morale.
Qu’est-ce que le mécénat de compétences ?
Le mécénat de compétences est une forme de don en nature, que tout le monde oublie, bien souvent. Seule 1 entreprise mécène sur 5 développe ce type de mécénat.
Pourtant, il reste un formidable moyen pour les entreprises de s’investir auprès d’associations.
Les compétences des collaborateurs de l’entreprise peuvent être valorisées et mises à disposition pour les différents projets d’une œuvre d’intérêt général.
Les différents acteurs pouvant s’investir directement au cœur des projets, le partage de valeurs est ressenti de manière encore plus intense avec ce type de mécénat.
Qu’est-ce que le mécénat en nature ?
Les entreprises peuvent mettre des produits ou du matériel à disposition des associations directement. C’est ce qu’on appelle un mécénat en nature. L’entreprise répond ainsi à un besoin précis évoqué par le bénéficiaire.
Environ 39% des entreprises mécènes utilisent le don en nature. À titre d’exemple, il est possible de fournir :
- des marchandises ;
- du matériel ;
- des locaux.
Plusieurs types de biens peuvent être distribués, par ailleurs. Cela permet aussi aux différents projets d’intérêt général de pouvoir avancer sur le terrain.
Le gros avantage de ce type de don, c’est qu’il peut permettre non seulement :
- à l’entreprise, de montrer son savoir-faire sans impacter sa trésorerie ;
- à l’association, de répondre à un besoin précis par les moyens matériels directement, sans avoir à passer par une phase d’achat.
A noter qu’il appartient à l’entreprise de communiquer le prix de revient (et non pas le prix de vente) et le détail des matériels donnés à l’association, base du reçu fiscal qui peut ainsi être délivré.
Qu’est-ce que le mécénat financier ?
Le mécénat financier se fait par le versement d’une somme d’argent, un don pécuniaire. Cela permet aux associations d’investir dans de nouveaux projets.
C’est le type de don qui est le plus souvent privilégié par les entreprises, même s’il existe d’autres moyens de devenir mécène. Le baromètre Admical (portail du mécénat) de 2018 indique que :
- 92% des entreprises mécènes passent par ce type de don ;
- il représente 84% du budget total du mécénat français.
Qu’est-ce que l’accès aux droits ?
Toute personne, quel que soit son âge, sa nationalité, son niveau de vie ou le lieu où elle habite, doit pouvoir, en dehors de tout procès :
- connaître ses droits et ses obligations.
- être informée sur les moyens de les faire valoir ou d’exécuter ses obligations.
L’aide à l’accès au droit, définie par la loi du 18 décembre 1998, consiste à offrir, dans des lieux accessibles à tous, des services :
- d’information sur les droits et devoirs des personnes,
- d’orientation vers les organismes, les services ou les professionnels chargés d’assurer ou de faciliter l’exercice des droits (médiateur, avocat, etc.),
- d’aide à l’accomplissement des démarches nécessaires à l’exercice d’un droit ou l’exécution d’une obligation (rédaction d’un courrier, etc.),
- d’assistance au cours de procédures non juridictionnelles pour permettre à une personne d’être assistée par un professionnel compétent devant certaines commissions ou devant certaines administrations,
- de consultations juridiques et d’assistance pour la rédaction ou la conclusion d’actes juridiques.
L’accès au droit est un facteur de cohésion sociale permettant de lutter contre la pauvreté et l’exclusion des individus les plus vulnérables.
Qu’est-ce qu’un bénévole ?
Si aucune loi ne définit précisément le bénévolat, il existe néanmoins une définition globale de ce concept qui place au cœur de cette action la liberté et la générosité. Le bénévole choisit en effet de s’engager librement et gratuitement pour une cause auprès d’une structure associative, en direction d’autrui et sans aucune forme de salariat. Le bénévolat s’inscrit donc en dehors du temps professionnel mais aussi du temps de vie familial.
Qu’est-ce qu’une donation ?
La donation est un acte par lequel une personne (le donateur) transmet, de son vivant, la propriété d’un bien à une personne (le donataire) sans contrepartie. La donation est à ne pas confondre avec un legs qui est une transmission de patrimoine dont le bénéficiaire jouira au décès du testateur.
Ce don peut être fait en faveur d’une personne physique ou morale autre que les héritiers réservataires. Il est possible, par exemple, de faire un don à une association. Cet acte authentique doit être établi devant un notaire. La donation de son vivant est un don immédiat et irrévocable, le donateur n’a pas la possibilité de revenir sur sa décision (sauf exception).
Transmettre le fruit de son épargne
Vous pouvez faire don de votre assurance-vie à notre association. Il suffit de désigner comme bénéficiaire de votre contrat d’assurance-vie l’association de votre choix afin que le fruit de votre épargne, au moment de sa transmission, aide les plus démunis.
Transmettre son patrimoine par la donation
La donation permet de transmettre un bien (immobilier ou mobilier) ou une somme d'argent, de son vivant, de manière immédiate, irrévocable et définitive. Elle est établie chez un notaire grâce à un acte notarié sauf exceptions (don manuel et présent d’usage).
Le don de son vivant (en pleine propriété ou l’usufruit) peut être fait à une association en respectant, au préalable, les parts de succession revenant aux héritiers (enfants, petits-enfants en cas de prédécès et, à défaut, le conjoint survivant).
Votre générosité représente la majeure partie de nos ressources. C’est donc grâce à vous, en tant que donateur, que le Secours Catholique peut poursuivre son combat pour faire reculer la pauvreté. Cette transmission de patrimoine au travers d’une donation nous offre le pouvoir de changer les choses en France et dans le monde.
Transmettre son patrimoine par la donation de l’assurance-vie
L’assurance vie est un moyen d’épargne que vous souscrivez auprès d’une banque ou d’une assurance. En tant que donateur, vous avez la possibilité de souscrire un contrat d’assurance-vie au profit du Secours Catholique en nous désignant tout simplement comme bénéficiaire et en nous informant de votre donation. Aucune autre démarche n’est requise. Léguer une assurance-vie à une association après votre décès, c’est faire don de votre épargne pour faire perdurer votre engagement auprès des plus démunis afin de construire, ensemble, l’avenir de chacun.
Transmettre son patrimoine par le legs
Le legs est un don sur testament d’une partie ou de l’entièreté de vos biens et dont le bénéficiaire jouira après votre décès. De votre vivant, vous restez propriétaire de vos biens et vous pouvez en disposer librement. Pour exprimer votre dernière volonté, préparer votre succession et organiser la transmission de votre patrimoine, il est indispensable de rédiger un testament qu’il soit olographe (rédigé à la main) ou authentique (rédigé par un notaire en présence de deux témoins). Il existe plus types de legs :
- Le legs universel : Le donateur fait don de la totalité de son patrimoine à une ou plusieurs personnes en préservant la part destinée aux héritiers réservataires (enfants, petits-enfants en cas de prédécès et à défaut, le conjoint survivant).
- Le legs à titre universel : Le donateur transmet par succession une partie ou une quote-part de ses biens à un ou plusieurs donataires, sous réserve des droits des héritiers réservataires.
- Le legs particulier : Lors de la succession, le donateur lègue à un ou plusieurs bénéficiaires des biens précis (bien immobilier, bien mobilier, titres, etc.) tout en respectant la réserve héréditaire et le montant de la quotité disponible.
Grâce à la transmission de votre patrimoine en faveur de notre association, vous poursuivez votre combat pour la lutte contre la pauvreté, l’isolement et les inégalités qui touchent des millions de personnes chaque année.
Transmission de patrimoine : une exonération totale des droits de successions ?
Étant une association reconnue d’utilité publique, le Secours Catholique bénéficie d’un avantage fiscal qui se traduit par une exonération totale des droits de succession lorsqu’il reçoit un legs, une assurance-vie ou une donation et ainsi, de s’assurer une certaine pérennité. En effet, le Secours Catholique est une association reconnue d'utilité publique dont les ressources sont affectées à l'aide aux personnes en situation de précarité. À ce titre, nous sommes habilités à recevoir des legs, assurances-vie et donations, sans avoir aucun droit de mutation à verser à l'État. Nous percevons 100 % du montant de vos dons. Ainsi, les biens ou les sommes d’argent qui nous sont transmis sont intégralement destinés à la lutte contre la pauvreté.
Faire un don à une association vous tient à cœur pour venir en aide aux personnes en situation de précarité et faire valoir leurs droits ? Vous souhaitez faire une donation de votre vivant ou anticiper votre succession en faisant un legs ? Nos équipes sont à votre écoute et vous proposent un accompagnement dans votre projet philanthropique. Nous veillons au respect de vos droits, des droits de vos héritiers, de vos souhaits et de vos dernières volontés. Vos legs et donations nous sont chers ! Trouvons le don qui vous correspond pour agir ensemble et voir, chaque jour, le bonheur dans les yeux des plus démunis.
Vais-je recevoir d’autres sollicitations par SMS ?
Vous êtes susceptible de recevoir des sollicitations de la part du Secours Catholique, mais vous pouvez vous y opposez facilement. Il vous suffit d’envoyer STOP par SMS au 92900, et c’est gratuit.
Vous hésitez à devenir bénévole au Secours Catholique ?
Il y a longtemps que vous avez envie de devenir bénévole pour une cause qui vous tient à cœur, sans pour autant avoir franchi le cap. Aurais-je assez de temps ? Serais-je à la hauteur ? Serais-je vraiment utile ? Autant de questions qui vous freinent. Pourtant, devenir bénévole est une belle action de générosité, simple et très accessible. Comme en témoigne le bénévolat au sein du Secours Catholique.
Y a-t-il des droits de succession sur mon assurance-vie pour le Secours Catholique ?
Il est légitime de se poser la question. Les droits de mutation font partie des droits de succession qui sont à payer par l’héritier ou le légataire désigné. Vous hésitez donc peut-être entre assurance-vie et legs.
Il est bon de savoir que fiscalement, tant que l’association bénéficiaire est un organisme d’utilité publique (selon l’article 795 du CGI), le don sera de toute manière exonéré des droits de mutation par décès.
Ainsi, nombreux sont les organismes qui sont exonérés et le Secours Catholique en fait partie.
En outre, les droits de succession ne sont pas acquittés si :
- le souscripteur choisit d’opter pour un contrat d’assurance-vie avant ses 70 ans
- le contrat est souscrit après 70 ans, mais le montant de l’ensemble des primes versées (tous contrats d’assurance-vie confondus) ne dépasse pas 30 500 €.
Y a-t-il un plafond pour bénéficier de la réduction d'IFI grâce à ses dons ?
Le code général des impôts limite la déduction fiscale annuelle de l’IFI à un plafond de 50 000 €. Ce plafond équivaut à un don de 66 667 € pour rendre l’impôt nul. La fiscalité généreuse du don IFI participe ainsi à la conduite chaque année de projets d’envergure de la Fondation Caritas France pour un monde plus juste.